Ci-dessous, une réaction parmis tant d’autre ce jour-là, suite à la vision du débât, les discussions et réactions furent nombreuses, et montrent l’ampleur de la vague qu’a produit cette émission. Une victoire pour le Mouvement vers la Vérite, sans aucun doute.
http://forums.france2.fr/france2/L-objet-du-scandale/defaitisme-militants-victoire-sujet_788_1.htm

11 Septembre : 5 Objets du Scandale

Mensonges, propagandes, désinformation, oreillettes, les scandales furent nombreux dans l’émission qui porte bien son nom. Voici ici la réponse aux mensonges, et aux oublis volontaires de l’émission orchestrée par Guillaume Durand, journaliste clairement partial.

11-SEPTEMBRE: LE DROIT AU DOUTE

Le mouvement vers la vérité, prend de l’ampleur, en nombre, certains médias libres et indépendant ( La Télé Libre), prennent le risque de s’intéresser au sujet, et de médiatiser l’évènement, une victoire pour nous tous, encore une. Cynthia Mac Kinney, ancienne congressite américaine, et Niels Harrit, qui a découvert avec son équipe de scientifiques danois, de la nano-termite, explosif militaire, au sein même du WTC, reviennent ensemble sur ce Droit au Doute.
http://www.verslaverite.org/

Interview du scientifique Niels Harrit TV danoise

L’Homme qui a trouvé des explosifs militaires dans le WTC, niels Harrit, qui a prélevé des échantillon le 11 septembre et les jours qui suivirent. Les rapports d’analyse eurent lieu en 2006 et le scandale est de taille, il y avaient bien des explosifs dans les tours du 11 Septembre.

Le délit d’initié est un délit boursier que commet une personne qui vend ou achète des valeurs mobilières en se basant sur des informations dont ne disposent pas les autres ; l’utilisation ou la communication d’éléments privilégiés peuvent permettre des gains illicites lors de transactions boursières, qui sont interdits par la règlementation de contrôle des marchés financiers.

Dans le délit d’initié nous avons affaire à deux types d’investisseurs dits initiés :

  • ceux qui ont les informations de la presse boursière
  • les personnes qui vivent dans la société émettrice de titre et qui disposent d’informations privilégiées sur cette société

Le code des marchés financiers[1] réglemente le délit d’initié en disposant que l’initié qui aura réalisé ou permis de réaliser sur le marché boursier, directement ou par personne interposée, une opération avant que le public ait connaissance des informations privilégiées, commet un délit.

http://wikipedia.fr/Resultats.php?q=d%C3%A9lits+d%27initi%C3%A9s

Bigard : Je ne nie pas le 11 Septembre

Bigard & 11 Septembre : Les chasseurs

américains

Bigard : La Conférence de Presse

Bigard & 11 Septembre : Les passeports

magiques

Invité le 28 mai 2009 sur le plateau de la chaîne de télévision américaine KMPH Fox 26 du groupe FOX TV, l’architecte et spécialiste des structures en acier Richard Gage y expose en direct les preuves de démolition contrôlée des tours du World Trade Center. Saisissant !

Richard Gage, figure centrale du mouvement pour la vérité sur le 11-Septembre, est le fondateur de l’association “Architectes et Ingénieurs pour la Vérité sur le 11 Septembre” qui rassemble à ce jour 700 ingénieurs et architectes.

Regardez également l’interview édifiante du scientifique Niels Harrit par la chaîne danoise TV2 après la publication le 6 avril 2009 d’une étude internationale démontrant la présence d’explosifs dans les décombres du WTC : http://www.dailymotion.com/user/ReOpen911/video/x92lw5_11-septembre-la-preuve-que-des-expl_news

La version officielle de l’effondrement du WTC est désormais bel et bien invalidée par la science !

Pour aller plus loin, vous pouvez regarder le documentaire “911 Mysteries – Demolitions”, le film référence sur les aspects techniques et scientifiques de l’effondrement des tours : http://www.dailymotion.com/relevance/search/911%2Bmysteries/video/xssrd_911-mysteries-stfr_events

Source: http://reopen911.info/

L’administration Bush a intimidé les témoins lors des auditions de la Commission d’enquête sur le 11-Septembre

En remettant en cause le fonctionnement autoritaire de l’Administration Bush et en souhaitant plus de transparence dans l’exercice du pouvoir, l’Administration Obama a ouvert une boîte de Pandore. De nombreux documents jusqu’ici secrets sont déclassifiés. Parmi eux, des notes internes de la Commission d’enquête sur le 11-Septembre. Celle que nous publions aujourd’hui atteste que des pressions ont été exercées sur les fonctionnaires et militaires ayant comparu devant la commission afin qu’ils ne répondent pas aux questions relatives au rôle et à la réaction de l’Administration face aux attentats.

On savait que la Commission d’enquête du les attentats du 11-Septembre était une mise en scène visant à valider la version gouvernementale des attentats en se substituant à une enquête judiciaire ou parlementaire. Après d’interminables tergiversations, le président Bush avait nommé lui-même une commission indépendante du Congrès qui n’avait pas manqué de l’innocenter de toute erreur ou culpabilité dans cette tragédie. Devant la colère des familles de victimes, M. Bush avait d’abord confié la présidence de cette commission au docteur Henry Kissinger [1] assisté de George J. Mitchell. Puis devant le tollé suscité par ces nominations, il les avaient remplacés par un ancien administrateur de la National Endowment for Democracy (NED), le républicain Thomas Kean, assisté par le démocrate Lee Hamilton [2]. Cependant, comme l’a montré Philip Shenon, journaliste au New York Times, le travail de la commission était en réalité encadré par son directeur exécutif, Philip Zelikow, en étroite collaboration avec Condoleezza Rice et Karl Rove [3]. M. Zelikow s’est attaché à écarter tous les témoins incontrôlables. Le schéma détaillé du rapport et les conclusions qu’il devait établir avaient été rédigés avant même que ne commencent les auditions. Le document que nous publions aujourd’hui atteste de la surprise des personnels de la commission devant les pressions exercées sur les fonctionnaires et militaires auditionnés pour qu’ils ne livrent aucune information qui s’écarte de ce schéma. Il va de soi que les recommandations des personnels de la commission pour plus de transparence n’ont jamais été prises en compte par les commissaires.

Document

Circulation limitée aux membres de la commission

A : Dan Marcus et Steve Dunne
De : Kevin Scheid, Col. Lorry Fenner et Gordon Lederman
Date : 2 octobre 2003
Objet : Intimidation des témoins par les représentants de l’Exécutif

Au cours des entretiens de l’équipe 2 et d’autres, nous avons observé trois tendances concernant les représentants (« surveillants ») du Pouvoir exécutif présents [5].

En premier lieu, ce qui manque aux agences c’est une définition commune de la fonction des surveillants durant les entretiens. Les différents point de vue des agences incluent : (1) les surveillants comme représentants des agences, devant s’assurer que le personnel de la commission se conforme à l’accord entre l’Exécutif et la commission concernant l’étendue concrète de l’enquête menée par la commission ; (2) les surveillants en tant que participants aux entretiens, répondant aux questions adressées aux témoins ; (3) les surveillants en tant que rapporteurs des agences, rendant compte auprès de leur agence respective des directions prises par l’enquête de la commission et des réponses des témoins au mot près ; (4) les surveillants en tant que conseillers, pouvant être consultés par les témoins durant les entretiens ; et (5) les surveillants en tant que greffiers d’actes précis survenus lors des entretiens, comme par exemple la transmission de documents soumis par les témoins au personnel de la commission. Nous suggérons que Dan Levin [6] formule une définition commune du rôle de la présence des surveillants aux entretiens.

En second lieu, les surveillants ont parfois répondu aux questions adressées aux témoins. Il est important pour notre enquête que nous puissions déterminer non seulement comment la communauté du renseignement est censée fonctionner dans le cadre de sa politique et de ses procédures, mais également comment celle-ci fonctionne réellement. Lorsque nous avons souhaité entendre des témoins au sujet de certains rôles et responsabilités au sein de la communauté du renseignement, les surveillants ont préempté les réponses des témoins en se référant à la politique et à la procédure formelles. En conséquence, les témoins n’ont pas répondu à nos questions et nous nous sommes trouvés dans l’impossibilité de comprendre le fonctionnement réel de la communauté du renseignement et la vision des témoins de leur rôle et responsabilités.

Troisièmement, les surveillants ont adopté des postures physiques et une attitude qui, selon nous, intimident les témoins afin qu’ils ne donnent pas de réponse complète et sincère à nos questions. Les surveillants se sont la plupart du temps installés à côté des témoins et face au personnel de la commission, suggérant aux témoins qu’ils sont également des participants à l’entretien et qu’ils ont le même statut que ces derniers. De plus, les surveillants prennent note au mot près des déclarations des témoins, ce qui d’après nous suggère aux témoins la possibilité que leurs supérieurs examinent ultérieurement leur témoignage et puissent les sanctionner. Nous pensons que l’impact global du comportement des surveillants, intentionnellement ou non, est d’intimider les témoins et de faire obstruction à des réponses exhaustives et sincères. En outre, la prise de note exacte par les surveillants facilite, pour les agences, la tâche consistant à informer les futurs témoins de la direction prise par l’enquête de la commission et permet aux agences de préparer les futurs témoins de façon explicite ou implicite.

Nous vous demandons de soulever la question de l’attitude des surveillants auprès du Pouvoir exécutif afin de faire en sorte qu’ils n’agissent plus ainsi à l’avenir. L’énoncé de principes ci-joint sera peut-être utile afin de définir le rôle et l’attitude des surveillants. Nous vous sommes par avance reconnaissants pour votre aide. Merci.

Principes encadrant les représentants de l’Exécutif participant aux entretiens menés par la Commission nationale sur les attaques terroristes contre les États-Unis

(1) Le but de la présence de représentants de l’Exécutif (« surveillants ») lors des entretiens est de s’assurer que les questions du personnel de la commission se limitent au champ d’investigation négocié entre l’administration et la commission. Si un surveillant estime qu’une question outrepasse cet accord, alors le surveillant doit immédiatement émettre une objection.

(2) Un seul surveillant pourra participer à l’entretien même si le témoin a occupé des fonctions dans plusieurs agences. Le personnel de la commission est susceptible d’entendre un tel témoin au sujet de ses activités dans n’importe laquelle de ces agences. L’Exécutif devra préciser avant chaque entretien si le témoin a occupé des fonctions dans plus d’une agence et devra décider quelle agence dépêchera un surveillant pour participer à l’entretien.

(3) L’ambassadeur ou l’adjoint au chef de mission désignera le surveillant pour les consultations entre le personnel de la commission et les représentants de gouvernements étrangers hors des États-Unis. Le département d’État désignera le surveillant pour toute consultation de ce type sur le territoire des États-Unis. Le personnel de la commission pourra solliciter d’autres représentants de l’Exécutif afin qu’ils participent à ces consultations.

(4) Les anciens employés du Pouvoir exécutif pourront choisir de solliciter un surveillant délégué par l’Exécutif afin qu’il participe à leur entretien.

(5) Le personnel de la commission annoncera le début de l’entretien à l’heure prévue sans attendre un surveillant tardif.

(6) Les surveillants ne répondront pas aux questions adressées aux témoins. Un surveillant souhaitant fournir des informations au personnel de la commission pourra le faire par écrit à l’issue de l’entretien.

(7) Les surveillants garderont « profil bas » pendant l’entretien, par exemple en s’installant derrière les témoins de façon à ce que ces derniers ne les voient pas. Dans tous les cas, les surveillants prendront place selon les instructions du personnel de la commission.

( 8 ) Les surveillants ne prendront pas note mot pour mot des entretiens, ce dont le personnel de la commission informera les témoins.

(9) Si un témoin souhaite consulter le surveillant, alors ce témoin doit demander une suspension temporaire de l’entretien.

(10) Si un surveillant enfreint une quelconque disposition parmi celles énoncées ci-dessus, alors le personnel de la commission pourra suspendre et reprogrammer l’entretien, de même il pourra interdire à ce surveillant de participer à tout entretien futur.

Source: http://www.voltairenet.org/article159916.html

Un spécialiste danois en nano-chimie (1), vient de publier un article scientifique démontrant la présence d’explosifs dans les décombres du World Trade Center (2). De l’autre coté de l’Atlantique, John Farmer, l’ancien conseiller juridique de la Commission sur le 9/11 a affirmé en prélude à la sortie de son livre qu’« à un certain niveau du gouvernement, (…) il y a eu un accord pour ne pas dire la vérité sur ce qui est arrivé » (3) .

Ces deux informations ne seront probablement pas transmises par les médias français. Dans notre pays, remettre en question la version officielle du 11 septembre n’est plus permis, sans doute parce que beaucoup ont dit n’importe quoi sur la question. Pour que les choses soient claires, La Télé Libre ne croit pas aux théories du complot. La Télé Libre ne « croit » pas tout court. La Télé Libre cherche à informer, et comme beaucoup dans le monde, elle doute que toute la vérité sur les attentats soit consignée dans le document The 9-11 Commission Report (rapport de la commission sur les attentats du 11/09/01).

Un sondage New-York Times-CBS révélait déjà en 2006 que seuls 16% des américains croyaient dans la version officielle…

Niels H. Harrit est professeur de chimie à l’université de Copenhague au Danemark. Dans un article publié le vendredi 3 avril dans The Open Chemical Physics Journal, il décrit la présence de résidus actifs d’un explosif appelé nano-thermite dans des poussières issues du WTC. Cet article, écrit en collaboration avec huit chercheurs, représente 18 mois de travail. Les conclusions sont troublantes. Une grande quantité de cet explosif, entre 10 et 100 tonnes, était semble-t-il présente, répartie dans les tours 1, 2 et 7 du World Trade Center, avant les attaques. Pour le Dr. Harrit et ses collaborateurs, seule l’utilisation de cet explosif peut être à l’origine des effondrements successifs et non les impacts des deux avions détournés par les pirates de l’air. Les éléments découverts par Niels H. Harrit et ses collègues ne figurent pas dans le rapport de la Commission sur les attentats du 11/09. L’article intitulé « Active Thermitic Material Discovered in Dust from the 9/11 World Trade Center Catastrophe » a été publié il y a un peu plus de deux semaines, et n’a donc pas encore fait grand bruit. L’article scientifique est disponible dans son intégralité ici : http://www.bentham.org/open/tocpj/openaccess2.htm

Depuis plusieurs années, ce n’est pas tant les évènements du 11 septembre qui portent à débat que la version officielle de ces évènements. Consignée par une Commission dans un rapport de près 600 pages, aujourd’hui également disponibles en bande dessinée, cette version officielle est contestée par les membres du 9/11 Truth Movement à travers le monde. Leur nombre grandi de jour en jour et  des associations de spécialiste (ingénieurs, architectes, pilotes, vétérans, pompiers, hommes politiques, avocats, etc .) en faveur d’une nouvelle investigation voient régulièrement le jour. Si cet ensemble de personnes met en doute la véracité des faits décrits dans le rapport officiel, ce sont aujourd’hui certains membres de la commission qui en critiquent le travail et les résultats.

C’est le cas de John Farmer, l’ancien conseiller juridique de la Commission sur le 11/09. Il a annoncé la sortie de son livre The Ground Truth: The Story Behind America’s Defense, on 9/11 (La vérité bâillonnée : L’intrigue du 11/9 derrière la défense de l’Amérique) à paraître le 12 mai au États-Unis. Dans ce livre, il ne sera pas question de chercher ou de trouver de nouveaux coupables ou responsables. Il ne sera donc pas non plus question d’alimenter une quelconque théorie du complot. Il s’agit de faits. John Farmer part d’un constat : « A un certain niveau du gouvernement, à un moment (…) il y a eu un accord pour ne pas dire la vérité sur ce qui est arrivé. » Pour lui, certains organismes gouvernementaux n’ont pas tout dit ou ont carrément menti. C’est le cas par exemple du NORAD (North American Aerospace Defense Command) dont la mission est la surveillance de l’espace aérien nord-américain. Cet organisme n’avait pas, à l’époque de l’enquête, mis toutes les informations dont il disposait à la disposition des enquêteurs. M. Farmer estime que les travaux sont donc biaisés et servent à établir une fausse impression de vérité. Ces commentaires émanant d’un proche conseiller de la Commission, il est difficile de ne pas en tenir compte lorsque l’on se penche sur la véracité des thèses que contient le document final.

En France, l’association reopen911.fr, fer de lance du mouvement pour la vérité sur le 11/9 continue de se mobiliser. Elle est parvenue à organiser la distribution du film “Loose Change Final Cut” en version française. Le DVD du film est distribué chez les marchands de journaux de l’hexagone avec le Hors Série numéro 5 du magazine Les Grands Mystères de l’Histoire. Le documentaire qui déchaîne les passions depuis sa première version qui date d’avril 2005 est aujourd’hui en vente dans sa dernière mouture. Toujours autant de questions, toujours aussi peu de réponses, et toujours ce doute qui gagne les spectateurs tout au long des 2h10 de ce film qui ne demande qu’une chose : une nouvelle enquête pour que la vérité soit établie.

Sans cette enquête, les “conspirationnistes” de tout poil pourront prospérer en propageant ce qu’ils présentent comme des certitudes.

Source: Antoine Sanchez pour LaTéléLibre.fr

Les liens/références et le gras sur certains passages de l’article ont été ajoutés par ReOpenNews


Références :

(1) Intervention du professeur Niels H. Harrit sur la télévision danoise

(2) Une nouvelle étude scientifique confirme la présence de thermite dans la poussière du WTC

(3) Un avocat de la Commission sur le 11 septembre déclare : le gouvernement a accepté de mentir

Difficile de se faire entendre en France pour dénoncer la supercherie de cet évènement mondial majeur de cette décennie. La propagande est bien huilée avec des médias sous tutelle. L’auto censure suit son cours. Ceux qui osent remettre en cause le moindre détail du 11 septembre sont accusés sans arguments concrets d’antisémites et de révisionnistes, aucune réponse sérieuse n’a été apporté aux questions les plus litigieuses ( Effondrement de la Tour numéro 7, Démolition contrôlée suite d’explosions précédent l’effondrement des tours, peu de monde dans les tours ce jour, important transferts boursies sur les compagnie aérienne les jours précédents les attentats, pas de trace d’avion au Pentagone…)


Aussi, l’essouflement de la propagande face aux preuves et aux soutients de plus en plus massif à la thèse du complot encourage certaines personnalités à hausser le ton fasse à l’indifférence générale d’une guerre basée sur le mensonge. La réaction sera d’autant plus grande lorsque la vérité éclatera au grand jour, en attendant un petit récapitulatif des fervents opposants à la thèse officielle.

Michael Moore ( Palme d’Or à Cannes avec  Farenheit 911), Thierry Meyssan grâce au réseau du net qui s’est chargé de poser les bonnes questions s’est aujourd’hui fait l’écho de ses découvertes fondées sur des documents officiels et vérifiables, partout dans le monde ( Suisse, Québec, Japon, Amérique Latine, Maghreb, Proche Orient, et désormais Russie) , Loose Change ont ouvert la voie du scepticisme quant à la théorie officielle. Sont venus ensuite les découvertes de toutes celles et ceux qui ont scruté en détails les vidéos du 11 Septembre, qui ont rassemblé les témoignages de pompiers, journalistes architectes, experts en bâtiments et en Démolition contrôlée, politiciens… la vérité ne cesse de progresser, et les personnalités brisent désormais le mur du silence médiatique. Le moment parfait pour rappeler à l’ordre et soutenir toutes celles et ceux qui se sont aventurés sur le terrain glissant du lynchage médiatique en remmettant en cause de la thèse officielle des attentats.

11 Septembre 2001 : débat sur la 1ère chaine TV russe (1/2)

11 septembre: débat sur la 1ère chaine TV russe (2/2)

Thierry Meyssan interview chez Ardisson

Fujita un sénateur japonais met en cause

l’administration Bush sur le 11 Septembre

Fujita au Senat questionne le 11/09

Mr Quiesa parlementaire italien émet de sérieux

doutes sur le 11 Septembre

Christine Boutin Ministre du logement en 2007

croit que c’est possible !

Karl Zéro soutient la réouverture d’une enquête

sur le 11 Septembre

Marion Cotillard livre sa vision sur le

11Septembre

Dieudo et le 11 septembre 2001

Bigard à la radio accuse Bush sur le 11

Septembre

11 septembre:Bigard persiste et signe sur

France 3

Bigard : il faut une nouvelle enquête

Thierry Meyssan : intervention en Russie

David Lynch et le 11 septembre

Le General Albert Stubblebine et l’attaque du

Pentagone

Et pour finir en beauté, voici un petit best of des personnalités qui ont déjà remis en cause les attentats du 11 Septembre à l’échelle internationale avec une mise en scène humoristique de Bande dessinée animée par notre nouvelle mascotte du front de la vérité sur le 11 Septembre 2001, j’ai nommé Jean-Marie Bigard:
Et si jamais cela ne vous suffisait pas, sachez qu’au delà des personnalités médiatisées, des centaines de journalistes, de politiciens, de survivants, de proches des victimes, de professeurs, d’architectes, d’anciens hauts-gradés militaires, de dirigeants des services de renseignements, d’ingénieurs, ou encore d’experts en démolition contrôlée qui se battent dans l’ombre pour faire reconnaître qu’il y a bien eut mensonges sur la thèse officielle du 11 Septembre et prônent ainsi la réouverture des enquêtes sur l’orchestration des attentats.
Pour plus d’infos:
http://www.reopen911.info/temoignages.html
SIGNEZ LA PETITION POUR UNE REOUVERTURE D’ENQUETE SUR LE 11 SEPTEMBRE:
http://www.reopen911.info/petition.html?symfony=676b5d5e901519b443cd402d843b1438

Déclaration stupéfiante de Benazir Bhutto au sujet de la mort d’Oussama Ben Laden

Dans une interview du 2 novembre 2007 à David Frost, journaliste vedette à Al-Jazira, Benazir Bhutto affirme – en passant – qu’Oussama Ben Laden a été assassiné par Omar Sheikh, un agent de l’ISI pakistanaise qui joua un rôle-clé dans les attentats du 11-Septembre. Cette déclaration stupéfiante, à prendre avec beaucoup de précaution, soulève de très nombreuses questions, qui risquent bien de ne jamais être résolues.

Le 27 décembre 2007, l’ex-Premier ministre du Pakistan Benazir Bhutto trouvait la mort dans un attentat-suicide, dont les commanditaires n’ont pas pu être encore clairement identifiés. Le 18 octobre dernier, jour de son retour au Pakistan après huit années d’exil, elle était déjà la cible d’un attentat-suicide dont elle sortait miraculeusement indemne. Entre ces deux attaques, le 2 novembre, elle avait accordé une interview à David Frost sur Al-Jazira, où elle avait désigné les possibles responsables de l’attentat du 18 octobre ; selon elle, ils pouvaient provenir d’un “gang du seigneur de guerre afghan Baitullah Mehsud, ou d’Hamza Ben Laden, le fils d’Oussama Ben Laden, ou des taliban pakistanais à Islamabad, ou d’un groupe à Karachi.”

Elle poursuivait : “J’ai renvoyé une lettre [au président Pervez Musharraf] disant que tant que ces groupes pourraient être utilisés, je pensais qu’il était plus important de rechercher les gens qui les soutiennent, qui les organisent, qui peuvent être les financiers, ou les organisateurs du financement de ces groupes, et j’ai nommé trois individus dont je pensais qu’ils pouvaient être leurs sympathisants.” David Frost demande alors des précisions sur ces trois individus ; il veut savoir s’ils peuvent avoir partie liée avec le gouvernement pakistanais. C’est là que Benazir Bhutto lance : “Oui, l’un d’eux est un personnage très important [a very key figure] dans la sécurité. Il est un ancien officier militaire. C’est quelqu’un qui a été impliqué avec le Jaish-e-Mohammed, l’un des groupes de Maulana Azhar, qui était dans une prison indienne pour avoir décapité trois touristes britanniques et trois touristes américains, et il a aussi été impliqué avec Omar Sheikh, l’homme qui a assassiné Oussama Ben Laden”.

La déclaration sensationnelle est la dernière : Ben Laden serait mort, et son meurtrier serait Omar Sheikh. Une déclaration qui ne doit pourtant pas en cacher une autre : cette allusion à cet “ancien officier militaire” impliqué avec le Jaish-e-Mohammed et Omar Sheikh, et que Benazir Bhutto soupçonnait de vouloir l’assassiner.

Oussama, es-tu là ?

La première déclaration – commençons évidemment par elle – est sidérante. D’abord, Ben Laden serait mort. Cette mort a déjà été annoncée, et démentie, quantité de fois. La dernière, c’était le 23 septembre 2006 ; le quotidien L’Est républicain publiait alors ce qui était présenté comme une information des services de sécurité saoudiens, transmise à la Direction générale des services extérieurs (DGSE), selon laquelle Ben Laden avait contracté “une très forte crise de typhoïde” alors qu’il se trouvait au Pakistan, et y aurait succombé le 23 août 2006.

Mais Benazir Bhutto précise cette fois-ci que Ben Laden aurait été tué par Omar Sheikh. Or, cet individu, que d’aucuns présentent comme le “fils préféré” de Ben Laden – et qui est connu pour son rôle dans le financement du 11-Septembre (il transféra 100 000 dollars à Mohammed Atta, le leader des kamikazes, sur les ordres du chef de l’ISI Mahmoud Ahmad) et aussi dans l’enlèvement et le meurtre du journaliste Daniel Pearl – est incarcéré au Pakistan depuis février 2002. Ce qui signifierait qu’il aurait tué Ben Laden avant cette date, et que ce dernier serait donc mort depuis près de six ans !

De nombreuses sources avaient, il est vrai, annoncé à cette époque la possible ou probable mort d’Oussama Ben Laden : le président américain George W. Bush lui-même, selon le Telegraph du 27 décembre 2001, le président pakistanais Pervez Musharraf sur CNN, le 18 janvier 2002 (qui évoquait sa maladie des reins), le New York Times du 11 juillet 2002 (qui précisait que la mort remontait à décembre 2001 et que le chef d’Al-Qaïda était enterré dans les montagnes du sud-est de l’Afghanistan), le FBI, selon BBC News du 18 juillet 2002, ou encore le président afghan Hamid Karzaï sur CNN, le 7 octobre 2002. Le Pakistan Observer (cité par Fox News) et le quotidien égyptien Al-Wafd, avaient même rapporté, le 26 décembre 2001, ses funérailles ; un important officiel taliban y affirmait que le Saoudien était mort, naturellement et calmement, dix jours auparavant, des suites de graves problèmes pulmonaires.

Une mort probable… à un témoignage près

Les problèmes de santé, notamment rénaux, d’Oussama Ben Laden sont connus depuis longtemps ; un membre de l’administration Bush, réagissant aux propos de Musharraf de janvier 2002, confia ainsi que le chef d’Al-Qaïda avait besoin d’une dialyse des reins tous les trois jours (même si d’autres officiels américains ne voyaient dans ces problèmes rénaux qu’une “rumeur récurrente”). Le 28 janvier 2002, CBS avait rapporté que, le 10 [...]

http://www.agoravox.fr

Un documentaire qui met en avant les  points noirs de l’enquête bâclée du 11 Septembre 2001.

Un groupe d’étude qui après le 11 Septembre 2001, et après avoir étudié le sujet en profondeur suite aux preuves accablantes fournies par des documentaires comme loose change que vous retrouverez sur le site reopen911.fr, ils se sont penchés sur ce sujet nous a-t-on déjà menti au cours de l’Histoire, et voici ce qu’il ont trouvé… Les nombreuses incohérences entourant l’attentat du 11 septembre rendent plausible l’hypothèse d’une mystification. Quoi qu’il en soit, lorsqu’on veut déclencher une guerre ou obtenir un changement politique radical, tous les prétextes sont bons. D’ailleurs, Les précédents historiques ne manquent pas. Pearl Harbour, la Baie des Cochons, le naufrage du Lusitania, autant de faits historiques à la base officiels mais clairement remis en cause entre autre par des scientifiques, des anciens agents des renseignements internationaux, des politiciens, des historiens, des journalistes, et quand on observe tout ceci de plus près, cela ne fait aucun doute, l’Histoire est tronquée et soulève la question suivante: Pourquoi et par qui est-elle truquée ?

ROME – 70 AVANT J.C. : CRASSUS ET SPARTACUS

La provocation politique est vieille comme le monde, pourrait-on dire. A cette époque, Rome est encore une république, mais déjà certains hommes influents aimeraient instaurer un régime plus “musclé”. L’un d’eux, Marcus Licinius Crassus, va exploiter la frayeur des Romains face à Spartacus et à son armée d’esclaves révoltés, et conduire ainsi ses concitoyens à renoncer à certaines libertés.
Comme Spartacus n’a nullement l’ambition de conquérir la ville, mais veut au contraire prendre le large avec ses hommes, Crassus va, dans un premier temps, veiller à ce que les insurgés ne trouvent aucun navire pour quitter le pays. Une flotte mercenaire qui aurait fait l’affaire, part sans eux après que Crassus ait généreusement rétribué ses propriétaires. La deuxième étape consiste à barrer le chemin aux troupes de Spartacus, de sorte qu’elles n’aient d’autre choix que de prendre la route de Rome. Crassus s’empresse alors de semer la panique parmi les Romains en leur exposant la gravité de la situation.

Après avoir défait l’armée de Spartacus et fait crucifier 6000 esclaves, Crassus peut se présenter en “sauveur” de la ville et prétendre au titre de consul. C’est le premier pas vers la liquidation de la République, bientôt remplacée par la dictature d’un triumvirat (composé de ce même Crassus, de Pompée et de César), puis par l’Empire.

PRUSSE – 1870 : LA DÉPÊCHE D’EMS

En juin de cette année-là, le prince Léopold de Hohenzollern-Sigmaringen, cousin du roi de Prusse Guillaume 1er, se porte officiellement candidat à la succession au trône d’Espagne. L’empereur Napoléon III désapprouve cette démarche et y voit une tentative prussienne pour “encercler” la France. Il va donc s’efforcer d’obtenir l’annulation de ce projet. Léopold y consent, mais cela ne suffit pas: Napoléon le Petit veut une confirmation de Guillaume. L’ambassadeur de France, Benedetti, se rend donc auprès du roi de Prusse, qui “prend ses eaux” à Bad Ems, une petite station thermale sur la Lahn, près de Coblence.
Guillaume reçoit Benedetti et lui fait savoir que si Léopold renonce au trône d’Espagne, la Prusse n’y verra pas d’inconvénient. Mais cette réponse ne satisfait pas l’empereur français. L’ambassadeur doit donc s’en retourner à Bad Ems pour exiger des garanties. Guillaume refuse de lui accorder une nouvelle audience et le fait recevoir par son aide de camp, le prince Radziwill, qui lui confirme les termes de la première entrevue. Le jour même, le roi fait envoyer une dépêche à Bismarck, son chancelier, afin de l’informer de la situation. Guillaume autorise Bismarck à publier le texte de cette dépêche partiellement ou intégralement, s’il le juge utile. Le chancelier prussien y voit l’occasion rêvée de réaliser ses ambitions politiques.
En 1870, en effet, l’Allemagne est encore fragmentée en de multiples Etats, grands, petits ou minuscules. La Prusse, le plus vaste d’entre eux, aspire depuis longtemps à réaliser à son profit l’unité allemande. Ce serait la seule façon pour ce pays de s’imposer sur la scène internationale. La chasse aux colonies est en effet ouverte depuis longtemps, mais l’Allemagne, faute d’exister vraiment, en est encore exclue. Seule une guerre victorieuse contre la France peut imposer cette unité, ne laissant d’autre choix aux Etats allemands encore hésitants, comme la Bavière par exemple.
Bismarck veut donc provoquer ce conflit armé, qui devra bien entendu être “défensif”. Grâce à la dépêche d’Ems, il espère pousser Napoléon III à déclarer la guerre à la Prusse. Pour cela il publie le texte du télégramme en le tronquant: “Sa Majesté a refusé de recevoir une seconde fois l’ambassadeur français et lui a fait savoir par son aide de camp qu’Elle n’avait plus rien à lui communiquer.”
Le lendemain, les journaux français impriment ce texte choquant par sa concision et son manque de diplomatie, et y glissent de surcroît une erreur de traduction. Au lieu d’aide de camp (en allemand: Adjudant), la presse écrit adjudant. Le scandale est double: non seulement, le roi de Prusse a refusé d’entendre notre ambassadeur, mais il l’a fait éconduire par un vulgaire sous-officier, au lieu de lui faire notifier le refus par un homme de son rang.
La manoeuvre de Bismarck a porté ses fruits au-delà de toute espérance. Les journaux français – contrôlés par le pouvoir – sombrent dans l’hystérie, exigent que cette humiliation soit lavée par les armes. On sait comment l’affaire se terminera: la défaite française à Sedan, l’abdication de Napoléon III, les Prussiens devant Paris, l’Alsace et une partie de la Lorraine arrachées à la France pour 47 ans, et l’Empire allemand proclamé dans la Galerie des Glaces de Versailles.

CUBA – 1898 : LA GUERRE HISPANO-AMÉRICAINE

Les Etats-Unis ont jeté leur dévolu sur deux colonies espagnoles: les Philippines et Cuba (où un soulèvement révolutionnaire est en cours pour obtenir l’indépendance). Comment faire ? Attaquer tout simplement l’Espagne n’est pas possible; l’opinion publique ne comprendrait pas. Le gouvernement américain de McKinley doit donc trouver un prétexte d’intervention. La presse (principalement William Randolph Hearst et son New York Journal) joue un rôle de premier plan dans cette affaire. Hearst envoie un illustrateur à La Havane afin de rapporter des images de la guerre.

- Quelle guerre ? demande l’illustrateur.
- Allez-y, vous verrez bien, répond Hearst. Vous vous occupez de fournir les dessins, je m’occupe de fournir la guerre

Dans les semaines suivantes, le New York Journal publie reportage sur reportage pour dénoncer les atrocités commises par les Espagnols à Cuba – atrocités souvent inventées de toutes pièces, ainsi qu’on l’apprendra plus tard. En février 1898, le navire USS Maine, envoyé à Cuba pour “protéger les intérêts américains”, coule à la suite d’une explosion ; 260 marins sont tués.* Sans aucune enquête, le coupable est aussitôt désigné: l’Espagne. Une campagne de presse se déchaîne alors aux Etats-Unis, et la guerre éclate aux cris de “Souvenez-vous du Maine !”

* Mais tous les officiers, invités à un dîner en ville, sont épargnés. Un “miracle” similaire sauvera les PDG du World Trade Center 103 ans plus tard.

L’Espagne une fois défaite, les Philippines deviennent une colonie des USA; Cuba obtient son “indépendance”, mais reste en fait sous la coupe des grandes entreprises américaines jusqu’en 1959. Un autre territoire arraché à l’Espagne en 1898, Porto Rico, se trouve encore aujourd’hui aux mains de Washington.

Pour ce qui est du prétexte ayant servi au déclenchement de la guerre, un examen sérieux du dossier, entrepris des décennies plus tard (en 1975), exclura toute intervention extérieure dans l’explosion du navire.

Cet épisode marque à la fois l’essor des Etats-Unis comme puissance impérialiste mondiale et les débuts de l’utilisation du mensonge journalistique comme instrument de manipulation de masse.


ALLEMAGNE – 1933 : L’INCENDIE DU REICHSTAG

Le 30 janvier, le plus légalement du monde, Hitler est nommé chancelier (chef du gouvernement) par le président Hindenburg, en attendant les élections législatives qui auront lieu le 5 mars. Le chef du parti nazi NSDAP met ces quelques semaines à profit pour noyauter l’administration. Malgré cela, il ne sait trop quel résultat sortira des urnes, l’opposition aux nazis étant encore très forte dans le pays*. Pour la briser, il faudrait une nuit de la Saint-Barthélémy, propose un Gauleiter brun. Mais dans le cadre “démocratique” de la République de Weimar, c’est difficile à réaliser, à moins qu’un évènement d’une gravité considérable ne vienne justifier cette action. L’évènement en question se produit dans la nuit du 27 février: c’est l’incendie du Reichstag de Berlin (le parlement).

* Aux élections législatives de novembre 1932, le NSDAP avait recueilli près de 12 millions de voix (33 %). Il était le premier parti d’Allemagne et représentait presque autant d’électeurs que les deux partis de gauche (SPD et KPD) réunis.

Pour ne pas attirer l’attention, les incendiaires pénètrent dans le Reichstag par un couloir souterrain qui relie le palais du président du Reichstag (qui n’est autre que le nazi Goering) au Reichstag lui-même. Pour donner le change, les S.A. pyromanes ont avec eux un certain Van der Lubbe, ex-communiste d’origine hollandaise, qu’ils ont probablement drogué pour s’assurer de sa docilité. Retrouvé seul sur le lieu du crime, il permet à Hitler de s’écrier, comme prévu: “Le gouvernement va prendre maintenant les mesures nécessaires à la liquidation totale de ce péril, le plus terrible qui ait menacé non seulement l’Allemagne, mais l’Europe. Ce que le communisme nous réservait, vous le voyez ici.”

Aussitôt dit, aussitôt fait. La terreur brune s’abat sur le pays. La police et les S.A. arrêtent des milliers de communistes dont les noms figuraient sur des listes établies depuis longtemps par des ministres SPD (sociaux-démocrates). On découvre au siège du KPD (parti communiste) des “documents compromettants”. La presse pro-nazie se déchaîne: “La cruauté asiatique des Mongols a ressuscité dans le cerveau des hommes de Moscou. Le projet de subversion communiste prévoyait la capture des femmes et des enfants de policiers: les insurgés les auraient placés devant eux comme un bouclier.” La comparaison avec notre époque montre que les “arguments” et les effets de ce genre de propagande n’ont guère évolué en 70 ans.

Les élections “libres” se déroulent dans cette atmosphère de chasse aux sorcières. Malgré tout, le NSDAP n’obtient que 44 % des sièges au Reichstag. On corrige ce résultat en supprimant purement et simplement les 14 % d’élus communistes. Le KPD est interdit, de même que certaines organisations proches du SPD. Le 20 mars, on érige à Dachau, près de Munich, le premier camp de concentration pour opposants politiques. L’administration et la presse sont mises au pas; on prend les premières mesures antisémites. SS et SA écument le pays.

Le 23 mars, le Reichstag vote un texte autorisant le chancelier à légiférer au même titre que le parlement, ce qui équivaut pratiquement à donner les pleins pouvoirs au chef du gouvernement. En outre, il est précisé que les lois futures “peuvent le cas échéant diverger des principes prévus par la constitution” et qu’elles seront promulgées par le chancelier lui-même, et non plus par le président du Reich. Un tel texte rend donc caducs parlement, présidence et constitution. Pour être voté, il nécessite une majorité des deux tiers. Or, dans le Reichstag “épuré” des communistes et de quelques sociaux-démocrates, le parti nazi n’a que 53 % des sièges. Il a donc besoin de l’appui des partis de la droite “classique” et du “centre”. Cet appui, il l’obtient, et même très largement : à l’exception du SPD, tous les députés du Reichstag votent la “réforme”, c’est-à-dire leur propre hara-kiri.

On voit donc que Hitler n’a pas pris le pouvoir, comme on le prétend souvent depuis sept décennies, mais qu’il l’a reçu des mains de la droite bourgeoise.

Quoi qu’il en soit, pour ses opposants, le résultat est le même. Le 22 juin, le SPD est dissout ; plusieurs de ses députés étaient déjà emprisonnés. Dans les semaines qui suivent, c’est au tour des autres partis, et le 14 juillet, le NSDAP est proclamé parti unique.

Pour couronner leur travail, les incendiaires nazis organisent à Leipzig un procès à grand spectacle contre plusieurs communistes, dont le Bulgare Dimitrov, délégué de l’Internationale communiste à Berlin. Mais l’effet escompté n’est pas atteint. L’accusé Dimitrov se fait accusateur et met en rage Goering, cité comme “témoin”. Sous la pression de l’opinion publique internationale, on doit l’acquitter. Van der Lubbe, l’instument involontaire des nazis, est retrouvé étranglé dans sa cellule.

ALLEMAGNE – 1939 : GLEIWITZ

Durant tout l’été, la presse nazie ne cesse de “dénoncer” les prétendues discriminations et brimades auxquelles serait soumise la minorité allemande de Pologne. Hitler s’apprête à envahir ce pays, mais il lui manque encore une “justification” concrète. Elle sera fournie par l’attaque de la station de radio de Gleiwitz, une petite ville allemande de Silésie, à la frontière polonaise.

Le 31 août, des SS revêtus d’uniformes polonais s’emparent de l’émetteur et diffusent une proclamation anti-allemande. Bien entendu, les “envahisseurs” sont repoussés peu après et essuient même des pertes. La propagande hitlérienne présente à la presse mondiale des photos des agresseurs tués. Les morts sont en fait des prisonniers d’un camp de concentration nazi qu’on a déguisés pour l’occasion en soldats polonais.

Après 1945, le chef du commando SS, Naujocks, dévoilera au procès de Nuremberg les détails de cette affaire et reprendra du service dans l’armée américaine. En attendant, Hitler peut déclarer au monde le 1er septembre 1939: “Depuis ce matin, 4 h 45, nous ripostons à l’agression polonaise.” La Seconde Guerre mondiale vient de commencer.

USA – 1941 : L’ATTAQUE-”SURPRISE” DE PEARL HARBOR

Deux ans après le début des hostilités, la majeure partie du continent européen est occupée par les troupes nazies, tandis que leurs alliés japonais sont en Chine. Mais les Etats-Unis s’en tiennent toujours à leur politique de neutralité. Le président Franklin D. Roosevelt plaide pourtant pour une intervention en Europe aux côtés de la Grande-Bretagne et de l’URSS. Une telle intervention serait d’ailleurs tout à fait du goût des géants de l’industrie, car rien, en effet, n’est aussi profitable qu’une bonne guerre*. L’opinion, elle, est encore très divisée à ce sujet. La Maison Blanche et ceux qui la soutiennent vont donc s’arranger pour que le public bascule de leur côté.

* Avec leurs sympathies pro-germaniques, Henry Ford et Prescott Bush – le grand-père de l’actuel “président” – font partie des exceptions qui confirment la règle.

Puisqu’il est évident que l’Allemagne évite toute friction avec les USA, le Président Roosevelt tente sa chance avec le Japon. En décrétant contre ce pays un embargo total, il l’incite à envisager l’annexion d’autres territoires du Pacifique. Ce qui justifie un transfert de la flotte américaine de San Diego (Californie) à Pearl Harbor (près d’Honolulu, dans l’archipel de Hawaii). Mais masser la flotte dans un endroit aussi exposé est une invitation à peine déguisée aux militaires japonais, qui ne tardent pas à lancer leur “attaque-surprise” (le 7 décembre).

En fait de surprise, il est prouvé que Washington était au courant de l’imminence de l’attaque et en connaissait même la date et l’heure. Mais rien n’a été fait pour en avertir les commandants locaux. Résultat: 2400 marins tués, 1200 blessés, 18 navires coulés ou touchés, 350 avions détruits ou endommagés. Mais surtout: un retournement instantané de l’opinion publique, l’entrée en guerre immédiate (contre le Japon et contre l’Allemagne nazie) et des contrats fabuleux pour les industries d’armement.

CUBA – 1962 : L’OPÉRATION NORTHWOODS

Quelques mois après le fiasco américain de la Baie des Cochons (tentative de débarquement de forces anticastristes à Cuba en avril 1961, dans le but de renverser le régime révolutionnaire), la National Security Agency (NSA), présente au Président John F. Kennedy un plan secret (nom de code: Opération Northwoods) destiné à venir à bout du gouvernement de La Havane. La NSA est la plus grande agence de renseignements des USA; elle emploie 25.000 personnes.

Le but de l’opération est de créer une situation permettant l’intervention directe de l’armée américaine, et non plus seulement un soutien logistique à une troupe de mercenaires. Northwoods prévoit l’organisation d’actions terroristes qu’on imputerait au régime cubain, entre autres:

attentats contre des citoyens américains en Floride ou à Washington

attaque d’un navire américain à Guantánamo Bay, une base militaire américaine à l’est de Cuba (“l’épine dans la chair de Castro”). La liste des victimes publiée dans tous les journaux américains susciterait une vague d’indignation très utile, estime la NSA (souvenez-vous du Maine).

abattre un avion des services secrets, que l’on présenterait comme un avion de ligne

couler un bateau de réfugiés cubains en route pour la Floride (action réelle ou fictive)

en cas d’échec du lancement dans l’espace de la fusée Mercury 6 avec John Glenn à bord (lancement réalisé avec succès le 20 février 1962), on aurait affirmé que l’accident et la mort de l’astronaute étaient dus à un sabotage cubain

Finalement, Kennedy rejette ce plan, probablement parce qu’il craint une réaction immédiate de l’Union Soviétique et qu’il n’a aucune envie de s’embarquer dans une aventure nucléaire. Six mois plus tard, JFK sera d’ailleurs confronté à l’affaire des fusées et gardera la tête froide. Un crétin de l’acabit de George W. Bush aurait certainement approuvé la réalisation de l’Opération Northwoods, et nous ne serions pas là pour en parler.

VIET-NAM – 1964 : LE GOLFE DU TONKIN

Après l’assassinat de Kennedy en novembre 1963, son successeur Lyndon B. Johnson va s’engager à fond dans une guerre qui avait commencé “en douceur” quelques années plus tôt, mais dont personne ne parlait encore, car Cuba monopolisait l’attention des médias.

Mais remontons un peu dans le temps…

De 1946 à 1954, Hô-Chi-Minh et ses partisans communistes luttent pour libérer le Viêt-Nam de la tutelle coloniale française. A la suite de leur victoire à la bataille de Diên-Biên-Phu, ils obtiennent l’indépendance. L’accord de cessez-le-feu prévoit cependant une coupure provisoire du pays. En attendant la tenue d’élections générales, les combattants d’Hô-Chi-Minh doivent se replier au nord du 17ème parallèle; les collaborateurs pro-français, au sud. Le résultat d’éventuelles élections ne faisant aucun doute, les Etats-Unis, venus relayer la France sur le terrain, vont tout faire pour éviter que le Viêt-Nam ne passe en totalité aux mains des “nordistes”. Ils empêchent donc la tenue d’une consultation nationale, créent en 1956 un Etat séparé dans la zone sud, y organisent des élections sur mesure et installent à la présidence un dictateur corrompu, Ngô-Dinh-Diêm.

Le régime fantoche de Saïgon ne pouvant se maintenir par ses propres moyens, les USA lui envoient des “conseillers” militaires chargés de mater la “subversion communiste”. Un mouvement clandestin s’organise en effet au Sud-Viêt-Nam et tente, avec l’aide du nord, de parachever la victoire de 1954. Les Américains accroissent toujours plus leur engagement militaire, et en 1964, ils entretiennent déjà sur place un corps expéditionnaire de 20.000 soldats.

Johnson juge le moment venu d’étendre la guerre au nord du pays. Il lui faut pour cela trouver une occasion propice. Aucune occasion ne se présentant, Johnson met en scène “l’incident” du golfe du Tonkin. Le 5 août, la presse américaine fait état “d’attaques répétées” de torpilleurs nord-vietnamiens contre des destroyers US (notamment le USS Maddox) en patrouille au large des côtes sud-vietnamiennes. Aussitôt, Johnson annonce des “représailles” américaines, c’est-à-dire des bombardements aériens contre Hanoï.

En réalité, le Maddox effectuait une mission de renseignements en vue d’opérations futures contre le nord. Et il n’y a eu aucune attaque de la part des Nord-Vietnamiens. Le capitaine John Herrick, commandant de la Task Force du golfe, le fera savoir à Washington: la nouvelle est fausse et repose sur un malentendu (l’homme responsable du sonar, trop zélé, a pris pour un bruit de torpille ce qui n’était que l’écho des hélices de son propre navire). Bien sûr, Johnson ne tient aucun compte de ce rapport, puisqu’il a lui-même arrangé la provocation.

Cet épisode ne sera que le prélude à une guerre de plus en plus féroce, mettant à feu et à sang non seulement le Viêt-Nam, mais aussi les pays voisins (Cambodge et Laos).

ISRAEL – 1967 : L’AFFAIRE DE L’USS LIBERTY

Si l’attaque fictive d’un navire constitue un excellent acte de propagande, il peut arriver, au contraire, qu’une attaque réelle soit suffisamment gênante pour être passée sous silence.

Le 8 juin 1967, pendant la guerre des six jours, le navire espion américan USS Liberty se trouve dans les eaux internationales au large de Gaza. Israël a envahi cette ville jusqu’alors placée sous administration égyptienne, et conquis un bonne partie du Sinaï. Le Liberty observe ses alliés en se félicitant de leurs succès militaires, lorsque tout à coup, chose absolument incompréhensible, des chasseurs israéliens attaquent le navire.

Le Liberty ne dispose pas de l’armement adéquat et lance donc un appel de détresse à la VIème Flotte qui croise dans les parages. Des avions de chasse décollent aussitôt des porte-avions américains, mais l’amiral commandant ces navires reçoit l’ordre de rappeler les appareils. L’amiral n’en croit pas ses oreilles et se fait confirmer l’ordre par le ministre de la Défense McNamara, puis par le président Johnson lui-même. En bon soldat, il obéit et fait revenir les avions.

C’est alors que se produit une nouvelle attaque, lancée cette fois pas des bateaux israéliens ; les torpilles causent des dégâts considérables. Lorsque le capitaine donne l’ordre d’abandonner le navire, les agresseurs tirent sur les canots de sauvetage. Les secours américains n’arriveront que le lendemain, seize heures après l’attaque. Il y aura 34 morts et 170 blessés parmi les marins du Liberty.

Johnson s’empresse de minimiser l’affaire. Comme il en a l’habitude, il ment devant les caméras de télévision, parle de 10 victimes et d’attaque accidentelle. Il n’y aura aucune investigation, et on ignore encore aujourd’hui les tenants et les aboutissants de ce scandale entre alliés. L’explication la plus plausible est que la présence du navire US à cet endroit était gênante pour les Israéliens. La Maison Blanche, de son côté, a voulu éviter de gâcher la belle victoire de son chouchou de Tel Aviv en intervenant de façon intempestive. Pour le boucher du Viêt-Nam (Hi, Mr. President, how many kids did you kill today ?), quelques morts de plus ou de moins dans les rangs américains sont vraiment un sujet secondaire.

En 2002, un documentaire de Christopher Mitchell diffusé par la BBC révèle qu’il était prévu de couler le Liberty. Si l’opération avait réussi, on aurait accusé l’Egypte et son allié soviétique, ce qui aurait permis aux Etats-Unis de s’engager directement dans le conflit.

Le puissant lobby sioniste a toujours su empêcher l’ouverture d’une enquête ; les hommes politiques américains osant intervenir en ce sens – comme par exemple le sénateur Adlai Stevenson – ont été systématiquement réduits au silence.

LIBYE – 1986: LA DISCOTHÈQUE LA BELLE

L’acteur Ronald Reagan est à la Maison Blanche – c’est son plus mauvais rôle. Comme tous les présidents, il aimerait en découdre avec “l’Empire du Mal” dont le centre est au Kremlin. Malheureusement, l’équilibre nucléaire ne le permet pas. (Reagan ignore encore l’étendue du travail de sape auquel se livre secrètement Gorbatchev.) En tout et pour tout, l’homme d’Hollywood doit se contenter des habituelles opérations de nettoyage en Amérique centrale et d’une ridicule intervention à Grenade – le temps qu’il a fallu pour trouver cette île sur la carte !…

Au Liban, l’armée américaine a essuyé d’assez lourdes pertes; il vaut mieux ne plus s’y frotter. Alors, trouvons autre chose, mais quoi ?… Et si on prenait Kadhafi ?…

Le président libyen – le terme politiquement correct est dictateur – est un type utile, à une époque où Ben Laden n’exite pas encore pour les médias. Dès qu’il y a un mauvais coup quelque part, pas besoin de chercher longtemps: c’est lui. Les good guys de la CIA n’ont plus qu’à concocter une covert operation comme il y en a dans le manuel. Pour cela ils font appel à leurs amis et collègues du Mossad israélien. De nombreux groupes terroristes arabes sont noyautés et dirigés par eux – pas de problème de ce côté-là.

Le 5 avril, comme prévu, une bombe détruit à Berlin-Ouest la discothèque La Belle, très fréquentée par les GIs américains. Il y a trois morts, dont deux soldats, et plus de 200 blessés. Le coupable est aussitôt désigné; le retaliation show peut commencer.

Depuis des années déjà, la flotte et la chasse US patrouillent à proximité des côtes libyennes, à l’affût de l’incident décisif. En 1980, un avion de ligne italien a même été “touché par erreur” (bilan : 80 morts) ; l’affaire, présentée comme un banal accident, a été rapidement étouffée. Le 15 avril 1986, enfin, l’armée reçoit l’ordre d’attaquer. Une heure plus tard, les vaillants pilotes de l’US Air Force rentrent sains et saufs de leur difficile mission. Ils viennent de bombarder Tripoli et Benghazi, tuant une cinquantaine de civils (hommes, femmes et enfants, dont la fille de l’ennemi public numéro un, une dangereuse terroriste âgée de seize mois). De nombreux bâtiments “stratégiques” ont été endommagés. Parmi ceux-ci, on compte la résidence de l’ambassadeur français (la France avait refusé aux avions américains le survol de son territoire). Mais le président Mitterrand est magnanime: il passe l’éponge sur cette insignifiante “bavure”.

Quinze ans plus tard, la “justice” allemande mène toujours son procès contre les acteurs présumés de l’attentat. Mais, bien entendu, ni le parquet, ni les juges n’ont entendu parler de la CIA ou du Mossad. Ils appliquent fidèlement les directives. Et comme il se doit, le seul service secret mêlé à cette affaire est la Stasi de l’ex-RDA.

* En 2004, la Libye “avoue son crime” dans l’espoir d’obtenir une normalisation de ses relations avec l’Occident.

IRAK – 1990 : LE PIÈGE DU KOWEIT

Lorsque les Anglais, qui ont hérité vers 1920 de nombreux territoires anciennement ottomans, accordent l’indépendance à l’Irak quelques années plus tard, ils prennent bien soin d’en détacher le Koweït, qui recèle d’immenses richesses pétrolières. Bagdad, cependant, ne renoncera jamais à l’idée de récupérer un jour ce morceau de désert qu’il considère comme sien. Il doit déchanter lorsque l’émirat devient indépendant en 1961.

Bien plus tard, en 1990, un différend frontalier oppose les deux pays. Saddam Hussein, le président irakien, décide d’en finir une fois pour toutes. Mais avant d’annexer le Koweït, il doit s’assurer de la bienveillante neutralité du gendarme américain. Saddam Hussein n’est pas encore pour l’opinion publique mondiale le dictateur sanguinaire qu’il deviendra bientôt. Il est un allié très respectable des Etats-Unis qui l’ont aidé à mener, dans les années 80, une longue guerre contre l’ennemi commun iranien. L’Iran islamiste des Ayatollahs est alors la bête noire des Américains. L’Irak, en le combattant, rend un grand service à son allié d’outre-Atlantique, d’autant plus qu’il consomme une quantité considérable d’armes de guerre made in USA (l’Iran aussi, d’ailleurs, même si les exportations ne sont pas officielles).

Dans ces conditions, Washington peut bien fermer les yeux sur les horreurs de la guerre. Et si Saddam extermine au gaz de combat quelques centaines de civils*, on ne va quand même pas en faire un plat. D’abord, ce ne sont que des Kurdes, et s’ils étaient en Turquie (encore un allié fidèle), ils n’auraient pas non plus le droit à l’existence.

* La chose n’est cependant pas définitivement prouvée ; il est fort possible que le massacre de Halabja soit à mettre au compte de l’armée iranienne. C’est ce que laisse entendre un ancien collaborateur de la CIA, Stephen C. Pelletiere, dans un article du New York Times du 31 janvier 2003.

Mais en 1990, la situation a évolué. George Bush père est à la Maison Blanche. Il représente comme nul autre les intérêts de l’industrie pétrolière. Et puisqu’il est président, et que le monde change de plus en plus vite (chute du mur de Berlin, disparition du monde communiste, implosion imminente de l’URSS), il va s’offrir ce que trois de ses prédécesseurs n’ont pu s’offrir, faute d’occasion favorable: une guerre, une vraie. Pour le bien des multinationales du pétrole, des industries d’armement, de la conjoncture, du moral des troupes (bien bas depuis le retrait du Viêt-Nam), pour sa gloire personnelle, et pour tester le nouveau rôle de l’Amérique, superpuissance unique. Et puis, parce qu’il est grand temps de revoir le partage du monde; la Russie, le Caucase, la Caspienne contiennent, semble-t-il, des gisements pétroliers dix fois plus importants que l’Arabie.

L’Irak est un excellent point de départ pour une aventure de ce genre. Ce conflit avec le Koweït ne pouvait mieux tomber. Si Saddam masse ses troupes à la frontière, laissons-le faire. Bush fait intervenir l’ambassadrice américaine à Bagdad, April Glaspie. Elle rassure le président irakien: l’Amérique ne souhaite pas intervenir dans les conflits entre Etats arabes, comme par exemple cette affaire Irak-Koweït; le problème du Koweït – c’est là l’avis officiel du Ministère américain des Affaires étrangères – n’est pas du ressort des Etats-Unis. Saddam Hussein sourit, satisfait. Il vient de tomber dans le panneau.

Quelques jours plus tard, le 2 août, l’Irak envahit le Koweït. Bush laisse faire sans intervenir. Il faut d’abord accoutumer le public à l’idée d’une intervention. Petit à petit, on parle des atrocités irakiennes, de la barbarie dont est victime la population civile. Pour faire plus vrai, on engage les services d’une officine de relations publiques spécialisée dans ce genre de “reportage”: Hill & Knowlton. Ces experts nous présentent une infirmière en pleurs, encore sous le choc de l’horreur qu’elle vient de vivre: la sodatesque irakienne faisant irruption dans son hôpital, détruisant toutes les couveuses et jetant par terre les pauvres nouveaux-nés sans défense. En fait, on apprendra un peu plus tard que “l’infirmière” en question est la fille de l’ambassadeur du Koweït à Washington – on n’avait personne d’autre sous la main.

Peu importe, la mystification fonctionne. Et quelques mois plus tard, tout le monde – ou presque – applaudit les héros de l’opération Tempête du désert. La guerre du Golfe vient de commencer.

Le rôle de la France dans cette affaire – un article du Réseau Voltaire sur le double jeu de François Mitterand.

http://www.smh.com.au/ffximage/2008/03/14/iraqintel14,0.jpg

BOSNIE – 1992 : LE “CAMP DE CONCENTRATION SERBE” DE TRNOPOLJE

Peu de temps après, en Yougoslavie, le dépècement du pays commence. En juin 1991, on proclame l’indépendance de la Slovénie et de la Croatie; en septembre celle de la Macédoine; en mars 1992 celle de la Bosnie-Herzégovine. Dans les régions où la population n’est pas homogène, les conflits ethniques et religieux éclatent; c’est bientôt la guerre ouverte. La Croatie et la Bosnie sont particulièrement touchées. Le mouvement, encouragé et même suscité par certains pays occidentaux comme l’Allemagne, va en s’amplifiant. Les premières troupes étrangères arrivent en Croatie, sous l’égide de l’ONU.

En août 1992, les militaires occidentaux sont également présents en Bosnie (voir plus bas). Entre-temps, tout le monde sait que les méchants dans cette histoire, ce sont les Serbes. Peu importe où il y ait des combats, les Serbes y sont toujours mêlés. Ils empêchent les autre peuples de l’ancienne Yougoslavie de vivre en liberté, ils sont hégémoniques, dictatoriaux, sanguinaires, etc., etc… Leur chef, Milosevic, est un fou furieux…. Oui, il est de retour, le bolchévik au couteau entre les dents qui faisait trembler nos arrière-grands-mères.

Le 6 août, la chaîne de télévision anglaise ITN présente des images terrifiantes. Elles montrent le camp de concentration serbe de Trnopolje, en Bosnie, où ces nouveaux nazis exterminent les Bosniaques musulmans qu’ils ont capturés. Voyez ce pauvre prisonnier au visage émacié, aux côtes saillantes, affamé… Voyez ces barbelés… C’est Auschwitz au coeur des Balkans, à la fin du 20ème siècle. Allez-vous tolérer que de telles horreurs se produisent à quelques centaines de kilomètres de chez vous ?… Que fait le gouvernement ?… Que fait l’Europe ?… Et l’OTAN, et l’ONU ?… Qu’attendent-ils pour mettre fin à ce cauchemar ?…

Saine réaction – exactement la réaction attendue… Pendant des années, dans le monde entier, la presse alignée entretient soigneusement l’indignation que soulève cette photo, sachant pertinemment qu’il s’agit d’une supercherie. En effet, contrairement aux apparences, la “victime” bosniaque ne se trouve nullement derrière les barbelés. Au contraire, c’est le photographe qui est derrière ceux-ci. Car Trnopolje n’est pas un camp de concentration, mais un camp de réfugiés ouvert, où les gens se rendent volontairement car ils y trouvent une certaine sécurité, et d’où ils peuvent repartir en toute liberté. Le fil barbelé en question n’entoure pas le camp, mais une remise contenant des outils et du matériel qu’il faut protéger du vol; il a été tendu avant la guerre. Et le photographe malhonnête se trouvait à l’intérieur de cet enclos – derrière les barbelés – quand il a pris le cliché.

A ce propos, il faut souligner le rôle particulier joué dans cette affaire par une autre agence de relations publiques, Ruder Finn. Son directeur, James Harff, a expliqué après coup comment il avait réussi à convaincre l’opinion juive américaine, pas très chaude pour l’aventure bosniaque: “En Croatie et en Bosnie, l’antisémitisme n’est pas seulement un phénomène historique, il caractérise encore fortement le discours politique contemporain. Les organisations et les intellectuels juifs avaient donc toutes raisons d’être hostiles aux Croates et aux Bosniaques. Le défi pour nous a donc consisté à inverser cette tendance de départ. C’est ce que nous avons réussi avec éclat lorsque le journal new-yorkais Newsday a fait état de Trnopolje. Nous avons sauté sur l’occasion, et en un rien de temps, les Serbes étaient assimilés à des nazis aux yeux de l’opinion publique. Les médias se sont mis à utiliser des expressions fortement émotionnelles, telles que ‘épuration ethnique’, ‘camp de concentration’, etc., évoquant infailliblement l’Allemagne nazie, les chambres à gaz et Auschwitz.”

BOSNIE – 1992 / 1994 / 1995 : LES MASSACRES DE SARAJEVO

Le 27 mai 1992, une explosion dans une rue de Sarajevo tue une vingtaine de personnes qui faisaient la queue devant une boulangerie. Instantanément, les médias dénoncent ce massacre dû, paraît-il, à un tir d’artillerie serbe. Bizarrement, on ne voit sur place aucun impact d’obus, et les victimes elles-mêmes sont presques toutes serbes. Qui plus est, une équipe de la télévision bosniaque musulmane est aussitôt sur les lieux pour filmer les scènes d’horreur qui feront le tour du monde.

En fait, la tuerie est l’oeuvre de miliciens bosniaques. But de la manoeuvre: provoquer le stationnement de troupes étrangères dans le pays et obtenir un embargo international à l’encontre de Belgrade. Trois jours plus tard, c’est chose faite. L’opération était préparée de longue date par les intervenants occidentaux.

Ce qui a si bien fonctionné en 1992, sera répété deux ans plus tard. Le 5 février 1994, nouveau massacre “serbe” sur un marché de Sarajevo: 68 morts, 200 blessés. Cette fois, CNN est sur les lieux. Et le 28 du même mois, des chasseurs de l’OTAN abattent des avions serbes dans le ciel de Bosnie. C’est le premier acte de guerre de l’Alliance Atlantique depuis sa fondation – mais pas le dernier.

Jamais deux sans trois: le 28 août 1995, même procédure qu’en 1994, même endroit. Il y a 37 morts. Le motif de l’attentat: briser définitivement la résistance serbe en Bosnie et permettre à l’OTAN de dicter ses conditions. En septembre, des bombardements alliés ont lieu sur diverses villes de la Republika Srpska. En novembre, débutent à Dayton, Ohio (USA) des “négociations” qui mettront fin à la guerre.

Dans les trois cas, le même scénario a produit les mêmes effets: choquer l’opinion publique, la conduire à accepter, voire à réclamer, des mesures plus énergiques contre le “bourreau de Belgrade” et ses “complices”. Le manque d’originalité de la manoeuvre ou le manque d’imagination de ses auteurs sont sans importance. Le coup du marché fonctionne toujours, comme un bon vieux running gag.

BOSNIE – 1995 : LE “GÉNOCIDE” DE SREBRENICA

Peit retour en arrière.

Juillet 1995: en Bosnie et en Croatie, la guerre s’éternise, détruisant des régions entières, paralysant l’économie, tuant, ruinant, chassant d’innombrables habitants – et apportant à quelques uns de confortables profits. Ce qui n’est plus produit sur place, doit être importé; les armes et l’équipement militaire également. Mais un jour ou l’autre, on atteint la limite de saturation, et il devient plus lucratif de reconstruire que de détruire toujours plus ce qui est déjà détruit. C’est alors que les tireurs de ficelles de l’OTAN décident de renverser la vapeur.

Dans un premier temps, ils ont prévu une intervention massive et directe de leur aviation afin de résoudre définitivement le problème de la présence serbe en Croatie (Kraïna et Slavonie orientale). Les plans de l’opération sont prêts; il ne manque plus que la “justification morale” qui permettra de les mettre en oeuvre. Elle sera fournie par l’affaire de Srebrenica, une enclave bosniaque musulmane en territoire serbe.

Les combats ont fait rage dans cette région. Il y a eu, des deux côtés, d’innombrables morts depuis trois ans. Mais en 1995, l’OTAN se met à compter à haute voix les victimes musulmanes. Et il ne s’agit pas de victimes “normales”, comme il y en a dans toutes les guerres, mais de civils massacrés – par les Serbes, évidemment. Leur nombre croît et croît sans cesse. Le Tribunal International de La Haye, un organe à la solde de l’OTAN, se saisit de l’affaire.

On prépare l’acte d’accusation: 7500 morts, ça ira ?… Très bien… On connaît les responsables, les chefs d’accusation. Il ne manque plus que les preuves et … les corps des victimes. On cherche et on en trouve 600. Ce n’est pas assez. Puisqu’on a déjà ameuté le monde entier avec ce “génocide”, ces “atrocités”, “les pires qui aient été commises depuis 1945″, il faut présenter du concret.

On se remet à chercher fébrilement, en vain. Finalement, on déclare que si les 7000 cadavres annoncés restent introuvables à Srebrenica ou dans les environs, c’est que les Serbes les ont cachés. Ce qui constitue une preuve supplémentaire de leur infamie. Résumons: si vous avez un assassin présumé et pas de victime, c’est que ce salaud a fait disparaître le corps – il est donc doublement coupable… Et il paraît que le Tribunal de La Haye est composé de juristes. Brrrr…

Enfin, peu importe… L’incessante propagande anti-serbe, le bourrage de crânes, le lavage de cerveaux, produisent leur effet. Début août, l’indignation est à son comble. On peut donner le feu vert.

En l’espace de quatre jours, les Croates “reconquièrent”, avec l’aide de l’OTAN, l’ensemble des territoires convoités et en chassent près de 400.000 Serbes – un record en matière d’épuration ethnique. Les quelques 5 % d’indésirables qui demeurent en Croatie perdent tous leurs droits, car Zagreb ne reconnaît pas les minorités nationales de moins de 8 %. Très pratique…

KOSOVO – 1999 : LE “MASSACRE” DE RACAK

Trois ans plus tard, c’est le Kosovo qui est au menu des Occidentaux. Début janvier 1999, les séparatistes albanais redoublent d’ardeur pour obtenir le détachement de leur province de ce qui subsiste encore de la Yougoslavie. La tension reprend de plus belle. Le 15, la police serbe, accompagnée d’observateurs de l’OSCE et d’un team vidéo de l’Associated Press, entre à Racak, un village tenu par l’UCK. Il y a une fusillade; quinze combattants albanais sont tués et de nombreuses armes saisies. Puis les Serbes quittent Racak avec les étrangers.

Le lendemain, l’UCK fait visiter le village à d’autres journalistes. William Walker, chef de la mission de l’OSCE, les accompagne. On montre à la presse une fosse contenant les cadavres de 45 “civils sauvagement massacrés par les Serbes”. La nouvelle du “massacre” fait le tour des médias, est reprise par l’OTAN et tous les gouvernements occidentaux, qui dénoncent ce “crime contre l’humanité” et la “barbarie de Milosevic”. Bill Clinton, à la Maison Blanche, est particulièrement indigné. Il nous révèle tous les détails. Et naturellement, tout le monde le croit, puisqu’il ne ment jamais.

Mais les journalistes et les observateurs présents la veille à Racak ont des doutes et se demandent d’où viennent tous ces cadavres. Les “témoignages” albanais ne concordent absolument pas avec ce que les étrangers ont vu le jour précédent. De toute évidence, l’UCK, avec la complicité de Walker, a rassemblé tous ses morts de la région, leur a enfilé des vêtements civils, qui bien souvent ne correspondaient pas à leur taille, et les a exposés à la vue des journalistes. A l’endroit où ils ont été “fusillés”, on ne retrouve ni douilles, ni sang. Walker, qui a été diplomate en Amérique centrale, y a aussi “travaillé” pour la CIA, couvrant les meurtres des Contras au Nicaragua et des escadrons de la mort au Salvador.

Mais tout cela, bien sûr, l’opinion publique l’ignore. Elle subit le matraquage incessant des médias alignés. Deux mois plus tard, le monde crédule est mûr pour la “guerre humanitaire” de l’OTAN (bombardement de la Yougoslavie, puis occupation du Kosovo).

En janvier 2001, une équipe d’experts légistes finlandais confirme qu’il n’y a pas eu de massacre à Racak, mais le mal est fait depuis longtemps. La dernière en date des mystifications anti-serbes de cette longue guerre de démantèlement de la Yougoslavie rappelle étrangement Gleiwitz (voir plus haut).

USA – 2001 : LES ATTENTATS DE NEW YORK ET DE WASHINGTON

S’agit-il là aussi d’une provocation, d’une mystification – la plus gigantesque, la plus monstrueuse de toutes ? Que sait-on au juste des attentats du 11 septembre ? Comment séparer le vrai du faux, les faits avérés de la désinformation ? La version officielle des événements contient tant de contradictions et d’absurdités, qu’il est impossible de l’accepter à moins de sombrer dans la candeur et l’aveuglement idéologique les plus complets.

Mystères du Pentagone

On sait que deux des avions (AA 11 et UA 175) ont percuté les tours du World Trade Center et qu’un troisième (UA 93) s’est écrasé en Pennsylvanie – peut-être victime d’un tir de missile. On ignore par contre comment s’est terminé le vol AA 77. Une chose est sûre: l’avion n’a pas pu s’abattre sur le Pentagone. Aucune photo, aucun témoignage visuel ne le prouve. Au contraire, les quelques photos disponibles démontrent qu’il n’en est rien – lire les détails à la rubrique Les mystères de l’attentat contre le Pentagone.

Une explication plausible serait que l’appareil en question, après avoir été pris en chasse par les F 16, ait été abattu au-dessus de l’océan qui ne se trouve qu’à une centaine de miles de là (un quart d’heure de vol). Les dégâts causés au Pentagone seraient dus à une bombe, à une voiture piégée ou à un missile. On peut d’ailleurs se demander s’il y a vraiment eu 125 victimes comme le prétendent les autorités. La liste officielle est invérifiable, contrairement à celle de New York.

Washington et Pennsylvanie: bavures ?…

Il est possible que les opérations AA 77 (Washington) et UA 93 (Pennsylvanie) ne se soient pas déroulées comme prévu. On ignorera sans doute toujours le fin mot de l’affaire – comme on ignore encore presque tout aujourd’hui des dessous de l’assassinat du président Kennedy, survenu en 1963.

Même si la chose ne s’est pas produite, peut-être était-il prévu que le Boeing des American Airlines percute vraiment le Pentagone. Ou que celui de United touche le Capitole ou la Maison Blanche. Des impondérables ont peut-être empêché le déroulement normal du script diabolique imaginé par les tueurs, le “mini-attentat” perpétré contre le ministère de la guerre n’étant qu’un pis-aller, un plan B déclenché en désespoir de cause. Le mystère reste entier.

… ou chaos intentionnel ?

Inversement, ce qui s’est passé le 11 septembre au-dessus de Washington et de la Pennsylvanie peut très bien correspondre à un scénario préétabli. L’apparent cafouillage aurait eu pour but d’entretenir auprès du public l’illusion de danger extrême menaçant le centre politique et militaire du pouvoir, alors qu’en réalité celui-ci n’a pratiquement pas été touché, contrairement au secteur civil…

Terroristes à bord ?…

Si les quatre avions ont vraiment été détournés par des pirates de l’air, il est possible que les groupes impliqués aient été manipulés par les services secrets qui leur auraient fourni toutes les facilités nécessaires pour organiser leur action, passer les armes à bord des appareils, éviter les contrôles et contourner les mesures de sécurité. Croyant agir pour la “bonne cause”, les terroristes auraient en fait inconsciemment servi les intérêts de leurs “protecteurs” anonymes.

Comme il a été dit fréquemment, il n’était pas nécessaire de recruter quatre équipes complètes de kamikazes pour mener à bien ces opérations. Il suffisait de disposer, dans chaque avion, d’un seul candidat au suicide, les autres participants, même s’ils étaient prêts à sacrifier leurs vies, croyant sans doute effectuer un banal acte de piraterie aérienne offrant de sérieuses chances de succès.

Les organisateurs des attentats auraient donc dû trouver quatre individus décidés à mettre fin à leurs jours et capables de diriger des Boeing 757 ou 767. Les connaissances de base indispensables pour piloter des appareils de cette taille ne s’acquièrent pas en quelques heures à bord d’un Cessna. En s’y prenant bien, il est peut-être possible de trouver une personne remplissant ces deux conditions, ou à la rigueur de former au pilotage de jets un aspirant au martyre. Mais en rassembler quatre ?… N’est-ce pas improbable – même pour les services secrets les plus puissants du monde ? Les hommes dont on a prétendu qu’ils étaient aux commandes des Boeing ne savaient pas piloter – les écoles où ils ont pris des leçons en ont témoigné. Rien ne prouve d’ailleurs qu’ils se trouvaient à bord. Les listes de passagers des compagnies aériennes ne mentionnent pas leurs noms. Alors, qui étaient les mystérieux pilotes ? Personne, jusqu’à présent, n’a osé affirmer qu’il était possible de contraindre un pilote de ligne à lancer son avion contre un gratte-ciel…

… ou terroristes au sol ?

C’est ici qu’entre en jeu le “progrès” technique.

L’utilisation d’avions sans pilote, les fameux drones téléguidés depuis le sol, n’a rien de nouveau en soi. Ces appareils de reconnaissance ou d’espionnage volant à haute altitude ont déjà fait leurs preuves durant la guerre du Golfe (1991) et en Yougoslavie (1999) – bien qu’un ou deux exemplaires y aient été abattus. Ce qui est nouveau, c’est le fait que de tels avions (Unmanned Aerial Vehicles = UAV) sont désormais en mesure de décoller et d’atterrir par leurs popres moyens. Les constructeurs Teledyne Ryan Aeronautical et Northop Grumman l’ont démontré en avril 2001 en inaugurant le premier vol entièrement indépendant d’un Global Hawk entre la Californie et l’Australie.

Bien entendu, on ne sait que peu de choses sur ce système de téléguidage, mais il n’est pas impensable qu’il ait été mis en oeuvre le 11 septembre, à l’insu des équipages. Avant de parler de science-fiction ou – comme dirait Télérama – de complot interplanétaire, il convient de se rappeler qu’une des mesures de sécurité proposées après les attentats pour empêcher les détournements d’avions a été, précisément, l’utilisation d’un système d’atterrissage automatique. Ce système existe dèjà, même s’il ne semble pas avoir été expérimenté pour un Boeing 757 ou 767. Le but de la manoeuvre n’étant pas toutefois un atterrissage en douceur mais, au contraire, un crash spectaculaire, il n’était nullement indispensable de fignoler la besogne.

Cette éventualité a été examinée en détail par la journaliste américaine Carol A. Valentine sous le titre Operation 911: No Suicide Pilots. Une hypothèse audacieuse, certes, mais qui mérite qu’on s’y arrête. La technologie Global Hawk permet effectivement de se passer de kamikazes et de commandos armés. Les terroristes – américains – auraient donc trafiqué les quatre avions et dirigé les attentats à distance. Dans le cas de la tour nord du World Trade Center, il est même possible que le Boeing ait été purement et simplement remplacé par un avion Global Hawk.

On peut supposer que des professionnels capables de telles actions savent éviter les situations gênantes. Et si une gaffe ou une bavure se produisent, ma foi, tant pis pour les témoins, si jamais il y en a…

Joe Vialls, un ingénieur en aéronautique vivant en Australie, va plus loin encore. Sur son site, il explique qu’un autre système de téléguidage appelé Home Run équipe déjà les avions de ligne de nombreuses compagnies, et qu’il était parfaitement au point pour être utilisé contre le WTC. (Joe Vialls analyse en outre d’autres questions touchant de près ou de loin le complot du 11 septembre: le mystérieux appel téléphonique de Barbara Olson depuis un des avions détournés, la chaussure-bombe de Richard Reid, et même le crash sur la Tour Pirelli de Milan en 2002, ou sur la Maison Blanche en 1994.)

Deux des sites les plus complets sur la question : Serendipity – Unanswered Questions

Qui sont les terroristes ?

Personne ne nie qu’il y ait eu conspiration le 11 septembre – c’est le cas dès que deux individus s’entendent pour réaliser une action illégale. Mais même si des islamistes se sont trouvés mêlés à cette conspiration, ce n’est sûrement pas parmi eux qu’il faut chercher les instigateurs.

Compte tenu des moyens mis en oeuvre, les responsables ne peuvent se trouver que dans les plus hautes sphères de l’appareil d’Etat américain (armée, services secrets, administration), elles-mêmes étroitement liées aux grands centres de décision de l’industrie et de la finance.

Le président Bush était-il personnellement au courant de ce qui se tramait, a-t-il participé activement au complot ? On peut en douter, vu la stupidité du personnage, propre à faire échouer la plus élémentaire entreprise clandestine. L’attitude de l’homme “le plus puissant de la planète”, à qui on venait apprendre la nouvelle le 11 septembre à 9 h 05, alors qu’il se produisait devant des enfants de sept ans, est révélatrice à cet égard: regard vide et inexpressif (“sombre” selon les chroniqueurs de la cour), incompréhension totale et absence de réaction – le parfait abruti. Ce n’est qu’une demi-heure plus tard, après qu’un de ses conseillers lui ait expliqué ce qu’il convenait de faire en pareille circonstance, que le pantin Bush a repris vie, annonçant dans une conférence de presse “improvisée” ce que tout le monde savait déjà depuis 45 minutes. En fait, GWB a probablement été mis devant le fait accompli, acceptant de jouer un jeu tout à fait à son goût. Tout crétin qu’il soit, il comprend vite où sont ses intérêts. C’est bien pour cela qu’il a été choisi pour jouer le rôle de Mr. President, et pas seulement parce qu’il est le fils de son père.

On peut se demander s’il y a eu, le 11 septembre, un “coup d’Etat” interne, une “révolution de palais” à Washington. De toute évidence, personne n’a été limogé, muté ou remplacé. Le putsch, si putsch il y a, a eu lieu bien avant, en décembre 2000, avec la mise en place – semi-légale – de la nouvelle équipe présidentielle. Les hommes clés de la nouvelle administration souhaitaient dès le départ une politique extrêmement dure favorisant l’expansionnisme américain en Asie et ailleurs, l’étouffement à l’échelle mondiale de toute velléité de dissidence, la création d’un climat de tension permanente favorable au complexe militaro-industriel, l’exaltation effrénée des “valeurs éternelles” les plus rétrogrades, l’abolition de libertés constitutionnelles, certes relatives mais néanmoins gênantes, une restructuration sociale permettant un transfert accéléré des richesses du bas vers le haut, etc…

Un tel bouleversement politique n’est pas réalisable à brève échéance, à moins que ne survienne un événement tragique d’une ampleur sans précédent, un Pearl Harbor du 21ème siècle, qui frappe l’opinion, la glace d’effroi, la paralyse, la conduise à accepter tout et n’importe quoi. C’est fait depuis le 11 septembre. Quant à savoir qui au juste a imaginé et organisé cet événement, qui l’a mis à exécution, qui est responsable, qui se doutait, qui était en dehors de la conspiration, c’est une autre question.

Si quelqu’un est assez naïf pour penser que les cercles dirigeants américains auraient le moindre scrupule à “sacrifier” la vie de leurs propres concitoyens, qu’il se reporte aux précédents évoqués plus haut.

Dans son article 11 septembre: quelques suppositions, Serge Thion donne une analyse très détaillée et très plausible de ce qui a pu se passer ce jour-là.

LIBAN – 2006 : LA PROVOCATION D’AÏTA AL CHAAB

En 2006, l’armée israélienne rêve d’en finir avec le Hezbollah, ce parti chiite libanais qui l’a profondément humiliée six ans plus tôt en l’expulsant du Liban après 18 ans de guérilla. En juillet, la situation semble propice. Les sionistes, qui contrôlent plus que jamais la politique américaine et européenne et dominent sans partage les médias internationaux, peuvent enfin déclencher une nouvelle guerre. Après l’Afghanistan, l’Irak et la Palestine, ce sera le Liban, en attendant que vienne le tour de la Syrie et de l’Iran.

Les plans sont prêts depuis longtemps lorsque, le 12 juillet, un détachement israélien viole la frontière libanaise près du village d’Aïta al Chaab, dans le sud-ouest du pays. Un peu plus loin, en territoire libanais, les Israéliens sont “accueillis” par le Hezbollah ; ils perdent huit soldats et un char. L’”incident” était prévu et voulu ; l’état-major savait pertinemment que les forces armées du parti islamiste étaient là et qu’elles réagiraient – même si personne n’avait escompté une réaction aussi vive et aussi cuisante pour les provocateurs.

Mais qu’importe, plus la gifle est cinglante, et plus violente sera la “punition”. Car l’Etat d’Israël est un Etat justicier, tenant à la fois de Zorro et de l’ange exterminateur. Il incarne le Bien, dont c’est la raison d’être et le destin de pourchasser le Mal, en tous lieux et en tous temps – on est l’élu de Dieu ou on ne l’est pas. La “punition” sera donc terrible, biblique…

On connaît le reste, hélas…

Vidéo en anglais:

La BBC annonce l’effondrement du WTC7 20 minutes *avant* que ça ne se produise. On voit le WTC7 derrière la présentatrice alors qu’on annonce son effondrement…

Le 11 septembre 2001, les journalistes de la BBC annoncent avec le plus grand sérieux du monde que le building numéro 7 du World Trade Center s’est effondré, alors qu’il se trouve encore derrière l’épaule droite de la journaliste. L’effondrement du WTC 7 était-il déjà prévu ? Un journaliste de CNN, quant à lui, annonçait son futur effondrement en le regardant d’une terrasse éloignée, à l’autre bout de Manhattan. Le WTC 7 n’ayant pas été la cible directe des attentats, mais étant situé à proximité des tours, son effondrement était à cette heure hypothétique et de probabilité faible. Comment se fait-il que les grands médias (BBC et CNN) étaient si sûrs de son effondrement avant que celui-ci ne se produise ? Quelques minutes avant son effondrement, le direct de la journaliste est interrompu…

Il n’existe toujours pas de version officielle des attentats du 11 septembre 2001. Aucune enquête judiciaire n’a été ouverte sur les attentats eux-mêmes, ni d’enquête parlementaire d’ailleurs. Tout au plus dispose-t-on d’une version gouvernementale explicitée par un rapport rendu par une commission présidentielle. Le professeur David Ray Griffin, qui a consacré un ouvrage de référence à l’étude de ce rapport, y a relevé 115 mensonges dont il dresse ici la liste.

Pour chaque mensonge, on se référera aux analyses du professeur David Ray Griffin dans son ouvrage Omissions et manipulations de la Commission d’enquête. Les chiffres entre parenthèse renvoient aux pages du livre dans son édition originale états-unienne.

1. L’omission de la preuve qu’au moins six des pirates de l’air présumés (dont Waleed al- Shehri, que la Commission accuse d’avoir poignardé une hôtesse de l’air du vol UA11 avant que celui-ci s’écrase sur la tour Nord du World Trade Center) sont toujours vivants (19-20).

2. L’omission des preuves concernant Mohamed Atta (comme son penchant signalé pour l’alcool, le porc et les danses érotiques privées – lap dances – ) sont en contradiction avec les affirmations de la Commission selon lesquelles il était devenu un fanatique religieux (20-21).

3. La confusion volontairement créée autour des preuves que Hani Hanjour était un pilote trop incompétent pour amener un avion de ligne à s’écraser sur le Pentagone (21-22).

4. L’omission du fait que les listes des passagers (flight manifests) rendues publiques ne contenaient aucun nom d’Arabe (23).

5. L’omission du fait qu’un incendie n’a jamais causé l’effondrement total d’un bâtiment à structure d’acier, ni avant ni après le 11 Septembre (25).

6. L’omission du fait que les incendies des Tours Jumelles n’étaient ni extrêmement étendus, ni particulièrement intenses, ni même très longs en comparaison avec d’autres incendies dans des gratte-ciels (de structures) similaires, qui eux ne se sont jamais écroulés (25-26).

7. L’omission du fait qu’étant donné l’hypothèse que les effondrements aurait été provoqués par l’incendie, la Tour Sud, touchée plus tard que la Tour Nord et en proie à des flammes de moindre intensité, n’aurait pas dû s’effondrer la première (26).

8. L’omission du fait que le bâtiment n°7 du WTC (qui n’a pas été touché par un avion et qui ne fut le théâtre que de petits incendies localisés) s’est aussi écroulé, un événement que l’Agence Fédérale pour le Traitement des Situations d’Urgence (FEMA) a reconnu ne pouvoir expliquer (26).

9. L’omission du fait que l’effondrement des Tours Jumelles (et du bâtiment n°7) présente au moins 10 caractéristiques d’une démolition contrôlée (26-27). 10. L’assertion que le coeur de la structure de chacune des Tours Jumelles était « un puits d’acier vide », une affirmation qui nie la présence de 47 massives colonnes d’acier qui constituaient en réalité le coeur de chaque tour et qui, selon la théorie de « l’empilement des étages » (the « pancake theory ») explicative des effondrements, aurait dû restées dressées vers le ciel sur de nombreuses dizaines de mètres (27-2).

Le 11 Septembre deux avions viennent percutés le World Trade Center, que transportaient réellement ces avions qui en toute vraisemblance étaient des avions militaires et non civils?

Ci-dessous un avion militaire US…

Et enfin vu d’en dessous, l’avion qui a percuté la seconde tour du WTC,

vous ne remarquez rien?

11. L’omission de la déclaration de Larry Silverstein [le propriétaire du WTC] selon laquelle il décida, en accord avec les pompiers, de « démolir » (to « pull », argot technique) le bâtiment n°7 .

12. L’omission du fait que l’acier des bâtiments du WTC fut rapidement déblayé de la scène du crime et embarqué sur des navires à destination de l’étranger AVANT qu’il puisse être analysé pour y déceler des traces d’explosifs (30).

Traduction:

Je me souviens avoir reçu un appel du chef du département des sapeurs pompiers, parce qu’il n’était pas sur qu’ils pouvaient contenir le feu… Car vous savez nous avons perdu tellement de vies, et peut-être que la chose la plus intelligente à faire c’était de “pull it” (”pull le bâtiment”). Et ils ont prit cette décision de “pull” (le bâtiment) et donc nous avons vu le bâtiment s’effondrer.

Donc comment cela se fait-il que Silverstein pose des bombes dans son propre building, et utilise le prétexte d’un feu causé par les explosions des avions dans les twin towers pour finalement exploser son propre bâtiment? Et il dit que c’était la chose la plus intelligente à faire que de le démolir?!

Quand votre maison prend feu, vous la démolissez? Nan, je ne sais pas je demande c’est tout! Mais Larry Silverstein lui, il fait ça donc si vous travaillez pour lui, un conseil faites attention au plafond.

13. L’omission du fait que le bâtiment n°7 ayant été évacué avant son effondrement, la raison officielle invoquée pour le déblaiement rapide de l’acier [sur ce site] (que certaines personnes puissent être encore vivantes sous les décombres) ne faisait aucun sens dans ce cas précis (30).

14. L’omission de la déclaration du maire R. Giuliani selon laquelle il avait été prévenu que le WTC allait s’effondrer (30-31).

15. L’omission du fait que Marvin Bush, le frère du Président, et son cousin Wirt Walker III étaient tous les deux directeurs de la société chargée de la sécurité du WTC (31-32).

16. L’omission du fait que l’aile Ouest du Pentagone [celle effectivement touchée] était la moins susceptible d’être prise pour cible par des terroristes de al-Qaida, pour plusieurs raisons (33- 34).

17. L’omission de toute discussion pour établir si les dommages sur le Pentagone étaient compatibles avec l’impact d’un Boeing 757 se déplaçant à plusieurs centaines de kilomètres/heure (34).

18. L’omission du fait qu’il existe des photos montrant que la façade de l’aile Ouest ne s’est effondrée que 30 minutes après la frappe, et aussi que le trou d’entrée apparaît bien trop petit pour un Boeing 757 (34).

19. L’omission de tout témoignage contradictoire au sujet de la présence ou de l’absence de débris visibles d’un Boeing 757 que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur du Pentagone (34-36).

20. L’absence de toute discussion pour établir si le Pentagone disposait d’un système de défense anti-missile capable d’abattre un avion de ligne commercial, bien que la Commission suggéra que les terroristes d’al-Qaida n’attaquèrent pas une centrale nucléaire parce qu’ils assumaient qu’elle serait ainsi défendue (36).

21. L’omission du fait que les images de différentes caméras de surveillance (y compris celles de la station service en face du Pentagone, dont le film fut confisqué par le FBI immédiatement après la frappe) pourraient sans doute donner une réponse à ce qui a réellement percuté le Pentagone (37-3).

22. L’omission de la référence du Ministre de la Défense D. Rumsfeld à « un missile [utilisé] pour endommager [le Pentagone] » (39).

23. L’approbation apparente de la réponse totalement insatisfaisante à la question de savoir pourquoi les agents des Services Secrets permirent au Président Bush de rester dans l’école de Sarasota à un moment où, selon la version officielle, ils auraient dû assumer qu’un avion détourné aurait pu prendre l’école pour cible (41-44).

24. L’échec à expliciter pourquoi les Services Secrets n’ont pas demandé la protection de chasseurs pour [l’avion présidentiel] Air Force One (43-46).

25. Les affirmations selon lesquelles lorsque le cortège présidentiel arriva à l’école [de Sarasota], personne dans l’assistance ne savait que plusieurs avions avaient été détournés (47-4).

26. L’omission du rapport selon lequel le Ministre de la Justice John Ashcroft fut averti d’arrêter de prendre des lignes aériennes commerciales avant le 11 Septembre (50).

27. L’omission de l’affirmation de David Schippers qu’il avait, sur la base d’informations fournies par des agents du FBI à propos d’attaques prévues dans le Sud de Manhattan, tenté en vain de transmettre cette information au Ministre de la Justice John Ashcroft pendant les 6 semaines précédant le 11 Septembre (51).

28. L’omission de toute mention que des agents du FBI auraient affirmé avoir eu connaissance des cibles et des dates des attaques [terroristes] longtemps à l’avance (51-52).

29. L’affirmation, par une réfutation circulaire qui présume la question résolue, que le volume inhabituel des achats d’options à la baisse avant le 11 Septembre n’impliquait pas que les acheteurs savaient à l’avance que les attaques se produiraient. (52-57)

30. L’omission des rapports selon lesquels le maire [de San Francisco] Willie Brown et certains responsables du Pentagone reçurent des mises en garde sur le fait de prendre l’avion le 11 Septembre (57).

31. L’omission du rapport selon lequel Oussama ben Laden, qui était déjà le criminel le plus recherché des États-Unis, fut traité en juillet 2001 par un docteur américain à l’hôpital américain de Dubai et y reçu la visite de l’agent local de la CIA (59).

32. L’omission des articles suggérant qu’après le 11 Septembre, l’armée américaine laissa délibérément Oussama ben Laden s’échapper (60).

33. L’omission de rapports, incluant celui sur la visite par le chef des services de renseignements saoudiens à Oussama ben Laden à l’hôpital de Dubai, qui sont en contradiction avec la version officielle selon laquelle Oussama fut renié par sa famille et son pays (60-61).

34. L’omission du compte-rendu de Gerald Posner sur le témoignage de Abu Zubaydah, selon lequel trois membres de la famille royale saoudienne (qui périrent tous mystérieusement à huit jours d’intervalle) finançaient al-Qaida et avaient une connaissance anticipée des attaques du 11 Septembre (61-65).

35. Le démenti par la Commission d’avoir trouvé une preuve du financement d’al-Qaida par les Saoudiens (65-6).

36. Le démenti par la Commission d’avoir trouvé une preuve que de l’argent de la femme du Prince Bandar, la Princesse Haifa, alla à des agents d’al-Qaida (69-70).

37. Le démenti, en ignorant tout simplement la distinction entre vols privés et vols commerciaux, que le vol privé transportant des Saoudiens de Tampa à Lexington le 13 Septembre violait les règlements de l’espace aérien en vigueur à cette date (71-76).

38. Le démenti que des Saoudiens furent autorisés à quitter le territoire des États-Unis peu de temps après le 11 Septembre sans avoir été l’objet d’une enquête appropriée (76-82).

39. L’omission de la preuve que le Prince Bandar obtint une autorisation spéciale de la Maison-Blanche pour les vols des Saoudiens (82-86).

40. L’omission de l’affirmation de Coleen Rowley que des responsables au Q.-G. du FBI avait vu le mémo de Phoenix de l’agent Kenneth Williams (89-90).

41. L’omission du fait que l’agent du FBI à Chicago Robert Wright affirme que le Q.-G. du FBI referma son enquête sur une cellule terroriste, puis tenta de l’intimider pour l’empêcher de publier un livre relatant expériences (91).

42. L’omission de la preuve que le Q.-G. du FBI sabota la tentative de Coleen Rowley et d’autres agents [du FBI] de Minneapolis pour obtenir un mandat pour rechercher l’ordinateur de Zacarias Moussaoui (91-94).

43. L’omission des trois heures trente de déposition devant la Commission par Sibel Edmonds, ancienne traductrice au FBI, déposition qui selon une lettre rendue publique par elle et adressée au Président [de la Commission] Kean, révélait de sérieuses dissimulations de la part de responsables du FBI, en relation avec le 11 Septembre, et ce au Quartier Général même du FBI (94-101).

44. L’omission du fait que le Général Mahmoud Ahmad, le Chef de l’ISI [les Services de Renseignement Pakistanais], se trouvait à Washington une semaine avant le 11 Septembre, et rencontra le Directeur de la CIA George Tenet ainsi que d’autres haut-responsables étasuniens (103-04).

45. L’omission de la preuve que Ahmad, le Chef de l’ISI [les Services de Renseignement Pakistanais] avait ordonné l’envoi de $100,000 à Mohamed Atta avant le 11 Septembre (104- 07).

46. L’affirmation de la Commission qu’elle ne trouva aucune preuve qu’un seul gouvernement étranger, y compris le Pakistan, avait financé des agents d’al-Qaida (106).

47. L’omission du rapport selon lequel l’Administration Bush fit pression sur le Pakistan pour limoger Ahmad de son poste de Chef de l’ISI après la divulgation de l’information selon laquelle il avait ordonné l’envoi d’argent de l’ISI à Mohamed Atta (107-09).

48. L’omission de la preuve que l’ISI (et pas seulement al-Qaida) était derrière l’assassinat de Ahmad Shah Massoud (le commandant de l’Alliance du Nord en Afghanistan), qui se produisit juste après une rencontre qui dura une semaine entre des responsables de la CIA et de l’ISI (110-112).

49. L’omission de la preuve que l’ISI est impliqué dans l’enlèvement et le meurtre de Daniel Pearl, journaliste au Wall Street Journal (113)

50. L’omission du rapport de Gerald Posner selon lequel Abu Zubaydah affirma qu’un officier militaire pakistanais, Mushaf Ali Mir, ayant des liens étroits avec l’ISI et al-Qaida avait une connaissance anticipée des attaques du 11 Septembre (114).

51. L’omission de la prédiction faite en 1999 par Rajaa Gulum Abbas, un agent de l’ISI, que les Tours Jumelles « s’effondreraient » (114).

52. L’omission du fait que le Président Bush et d’autres membres de son Administration évoquèrent à plusieurs reprises les attaques du 11 Septembre comme des « opportunités » (116-17).

53. L’omission du fait que le Projet pour le Nouveau Siècle Américain (« The Project for the New American Century »), dont de nombreux membres devinrent des figures clés de l’Administration Bush, publia un document en 2000 disant qu’un « nouveau Pearl Harbour » aiderait à l’obtention de fonds pour une transformation technologique rapide de l’appareil militaire américain (117-1).

54. L’omission du fait que Donald Rumsfeld, qui était le président de la commission de l’US Space Command et avait recommandé l’accroissement du budget alloué, utilisa les attaques du 11 Septembre le soir même pour s’assurer de tels crédits (119-22).

55. Le fait de ne pas mentionner que les trois hommes responsables de l’échec à prévenir les attaques du 11 Septembre (le Ministre Rumsfeld, le Général Richard Myers, et le Général Ralph Eberhart) étaient également les trois principaux promoteurs de l’US Space Command (122).

56. L’omission du fait que Unocal avait déclaré que les Talibans ne pouvaient pas garantir une sécurité adéquate pour commencer la construction de ses pipelines (de pétrole et de gaz) depuis le bassin Caspien au travers de l’Afghanistan et du Pakistan (122-25).

57. L’omission du rapport selon lequel des représentants des États-Unis dirent à l’occasion d’une rencontre en juillet 2001 que, parce que les Talibans refusaient leur proposition de développer la construction d’un oléoduc, une guerre contre eux commenceraient en octobre (125-26).

58. L’omission du fait que dans son livre publié en 1997 Zbigniew Brzezinski avait écrit que pour que les États-Unis maintiennent leur primauté globale, ils avaient besoin du contrôle de l’Asie Centrale, avec ses vastes réserves de pétrole, et qu’un nouveau Pearl Harbour serait utile pour obtenir l’adhésion de l’opinion publique américaine à ces visées impériales (127-2).

59. L’omission du fait que des membres clés de l’Administration Bush, dont Donald Rumsfeld et son délégué Paul Wolfowitz, s’étaient démenés en faveur d’une nouvelle guerre contre l’Irak pendant de nombreuses années (129-33).

60. L’omission des notes des conversations de Donald Rumsfeld le 11 Septembre qui montrent qu’il était déterminé à utiliser les attaques comme un prétexte pour une guerre contre l’Irak (131-32).

61. L’omission de la déclaration contenue dans le Projet pour un Nouveau Siècle Américain que « le besoin pour une présence américaine forte dans le Golfe dépasse le sujet du régime de Saddam Hussein » (133-34).

62. L’affirmation que le protocole de la FAA (Federal Aviation Agency) au sujet du 11 Septembre requérait le long processus de passer par plusieurs étapes dans la chaîne de commandement, même si le Rapport Officiel [de la Commission] cite des preuves du contraire (158).

63. L’affirmation que ces jours-là, seules deux bases de l’US Air Force dans le secteur Nord- Est du NORAD (North American Aerospace Defense Command pour Centre de Commandement de la Défense de l’Aérospatial de l’Amérique du Nord) conservaient des chasseurs en alerte et qu’en particulier il n’y avait pas d’avions de combat en alerte à McGuire ou à Andrews (159-162).

64. L’omission du fait que la base Andrews de l’US Air Force convervait plusieurs avions de chasse en alerte de façon permanente (162-64).

65. L’acceptation de la double affirmation que le Colonel Marr du NEADS (North East Air Defense Sector) devait téléphoner à un supérieur pour obtenir la permission d’envoyer des chasseurs depuis [la base] d’Otis et que cet appel nécessita huit minutes (165-66).

66. L’approbation de l’affirmation que la perte du signal du transpondeur d’un avion rend virtuellement impossible sa localisation par for par les radars de l’armée américaine (166- 67).

67. L’affirmation que l’interception de Stewart Payne n’a pas montré que le temps de réponse du NORAD au vol AA11 fut extraordinairement lent (167-69).

68. L’affirmation que les chasseurs de la base d’Otis restèrent cloués au sol sept minutes après qu’ils en eurent reçu l’ordre parce qu’ils ne savaient pas où aller (174-75).

69. L’affirmation que l’armée américaine n’était pas informée du détournement du vol UA175 avant 9h03, moment exact où il percutait la tour Sud du WTC (181-82).

70. L’omission de toute explication sur (a) la raison pour laquelle un rapport antérieur du NORAD, selon lequel la FAA avait notifiée les militaires du détournement du vol UA175 à 8h43, était maintenant considéré comme faux et (b) comment ce rapport, s’il était faux, a pu être publié et ensuite laissé non corrigé pendant près de trois ans (182).

71. L’affirmation que la FAA n’a installé de téléconférence qu’à partir de 9h20 ce matin-là (183).

72. L’omission du fait qu’un mémo de Laura Brown de la FAA affirme que la téléconférence fut établie à environ 8h50 et qu’elle porta notamment sur le détournement du vol UA175 (183-84, 186).

73. L’affirmation que la téléconférence de la NMCC, (le Centre National de Commandement Militaire ou National Military Command Center) ne débuta pas avant 9h29 (186-8).

74. L’omission, dans l’affirmation de la Commission que le vol AA77 n’a pas dévié de sa course avant 8h54, du fait que des rapports précédents avaient annoncé 8h46 (189-90). 75. L’échec à mentionner que l’annonce du crash d’un jet dans le Kentucky, à peu près au moment où le vol AA77 disparaissait du radar de la FAA, fut prise suffisamment au sérieux par les responsables de la FAA et de l’unité du contre-terrorisme du FBI pour être relayée à la Maison-Blanche (190).

76. L’affirmation que le vol AA77 vola près de 40 minutes dans l’espace aérien américain en direction de Washington sans être détecté par les radars des militaires (191-92).

77. L’échec à expliquer, si le précédent rapport du NORAD selon lequel il fut notifié du vol AA77 à 9h24 était « incorrect », comment ce rapport erroné a pu voir le jour, c’est-à-dire, de savoir si les responsables du NORAD ont menti ou furent « embrouillés » pendant près de trois ans (192-93).

78. L’affirmation que les avions de combats de Langley, dont le NORAD avait tout d’abord dit qu’ils furent dépêchés pour intercepter le vol AA77, furent réellement déployés en réponse à un rapport erroné de la part d’un contrôleur (non-identifié) de la FAA à 9h21 que le vol AA11 était toujours en l’air et se dirigeait vers Washington (193-99).

79. L’affirmation que les militaires ne furent pas contactés par la FAA à propos du probable détournement du vol AA77 avant que le Pentagone soit touché (204-12).

80. L’affirmation que Jane Garvey ne s’est pas jointe à la vidéoconférence de Richard Clarke avant 9h40, c’est-à-dire après que le Pentagone soit percuté (210).

81. L’affirmation qu’aucune des téléconférences ne parvint à coordonner la FAA et les réponses des militaires aux détournements parce « qu’aucune [d’elles] incluait les bons responsables au sein de la FAA et du Ministère de la Défense », bien que Richard Clarke dise que sa vidéoconférence incluait la Directrice de la FAA Jane Garvey comme le Ministre de la Défense Rumsfeld et le Général Richard Myers, le Chef des Forces Armées par intérim (211).

82. L’affirmation de la Commission qu’elle ne savait pas qui, au sein du Ministère de la Défense, participa à la vidéoconférence avec Richard Clarke alors que Clarke affirme dans son livre qu’il s’agissait de Donald Rumsfeld et du Général Myers (211-212). 83. L’approbation de l’affirmation du Général Myers qu’il se trouvait sur Capitol Hill pendant les attaques, sans mentionner le compte-rendu contradictoire de Richard Clarke, selon lequel Myers était au Pentagone et participait à la vidéoconférence avec Clarke (213-17).

84. L’échec à mentionner la contradiction entre le témoignage de Clarke au sujet de l’emploi du temps de Rumsfeld ce matin-là et les propres déclarations de Rumsfeld (217-19).

85. L’omission du témoignage du Ministre des Transports Norman Mineta, donné à la Commission elle-même, que le Vice-Président Cheney et les autres [personnes présentes] dans l’abri souterrain étaient avertis à 9h26 qu’un avion s’approchait du Pentagone (220).

86. L’affirmation que les responsables du Pentagone ne savaient rien d’un avion s’approchant d’eux avant 9h32, 9h34, ou 9h36, et dans tous les cas seulement quelques minutes avant que le bâtiment soit touché (223).

87. L’acceptation de deux versions contradictoires au sujet de l’appareil qui percuta le Pentagone : une qui relate l’exécution d’une spirale à 330 degrés vers le bas (un « piqué à grande vitesse ») et une autre dans laquelle il n’est pas fait mention de cette manoeuvre (222-23).

88. L’affirmation que les avions de chasse de Langley, qui reçurent soit-disant l’ordre de décoller rapidement pour protéger Washington contre le « vol fantôme AA11 » n’étaient nulle part près de Washington parce qu’ils furent envoyés vers l’océan par erreur (223-24).

89. L’omission de toutes les preuves suggérant que ce qui frappa le Pentagone n’était pas le vol AA77 (224-25).

90. L’affirmation que les militaires ne furent pas informés par la FAA du détournement du vol UA93 avant qu’il ne s’écrase (227-29, 232, 253).

91. La double affirmation que le NMCC n’a pas contrôlé la conférence initiée par la FAA et donc fut incapable de connecter la FAA à la téléconférence initiée par le NMCC (230-31).

92. L’omission du fait que les Services Secrets sont capables de savoir tout ce que sait la FAA (233).

93. L’omission de toute enquête sur les raisons pour lesquelles le NMCC lança sa propre téléconférence, si, comme Laura Brown de la FAA l’a dit, cela n’est pas le protocole standard (234).

94. L’omission de toute enquête sur les raisons pour lesquelles le Général Montague Winfield fut non seulement remplacé par un « bleu » (a rookie), le Capitaine Leidig, en tant que Directeur des Opérations du NMCC mais encore l’a laissé au commandement quand il fut clair que le Pentagone était confronté à une crise sans précédent (235-36).

95. L’affirmation que la FAA notifia (de façon erronée) les Services Secrets entre 10h10 et 10h15 que le vol UA93 était encore dans le ciel et se dirigeait vers Washington (237).

96. L’affirmation que le Vice-Président Cheney ne donna l’autorisation de tir qu’après 10h10 (plusieurs minutes après que le vol UA93 se fut écrasé) et que cette autorisation ne fut pas transmise à l’armée US avant 10h31 (237-41).

97. L’omission de toutes les preuves indiquant que le vol UA93 fut abattu par un avion militaire (238-39, 252-53).

98. L’affirmation que [le Tsar du Contre-Terrorisme] Richard Clarke ne reçut la demande d’autorisation de tir qu’à 10h25 (240).

99. L’omission du propre témoignage de Clarke, qui suggère qu’il reçut cette demande d’autorisation de tir vers 9h50 (240).

100. L’affirmation que Cheney ne gagna l’abri souterrain du PEOC [ou CPOU pour Centre Présidentiel d’Opérations d’Urgence]) qu’à 9h58 (241-44).

101. L’omission de multiples témoignages, dont celui de Norman Mineta [le Ministre des Transports] à la Commission elle-même, que [le Vice-Président] Cheney se trouvait dans le CPOU avant 9h20 (241-44).

102. L’affirmation que l’autorisation d’abattre un avion civil devait être donnée par le Président (245).

103. L’omission de rapports que le Colonel Marr donna l’ordre d’abattre le vol UA93 et que le Général Winfield indiqua que lui et d’autres [officiers] au NMCC s’attendaient à ce qu’un chasseur atteigne le vol UA93 (252).

104. L’omission de rapports indiquant qu’il y avait deux avions de chasse dans le ciel à quelques kilomètres de New York et trois à seulement 320 kilomètres de Washington (251).

105. L’omission du fait qu’il existait au moins six bases militaires avec des chasseurs en état d’alerte dans la région Nord-Est des États-Unis (257-5).

106. L’approbation de l’affirmation du Général Myers que le NORAD avait défini sa mission en termes de défense seulement contre des menaces dirigées [vers les Etats-Unis] depuis l’étranger (258-62).

107. L’approbation de l’affirmation du Général Myers que le NORAD n’avait pas envisagé la possibilité que des terroristes pourraient utiliser des avions de ligne détournés comme des missiles (262-63).

108. L’échec de mettre en perspective la signification du fait, présenté dans le Rapport lui-même, ou de mentionner d’autres faits prouvant que le NORAD avait effectivement envisagé la menace posée par des avions de ligne détournés d’être utilisés comme des missiles (264- 67).

109. L’échec de sonder les implications de la question de savoir comment les manoeuvres militaires (« war games ») programmées ce jour-là purent influer sur l’échec des militaires à intercepter les avions de ligne détournés (268-69).

110. L’échec de discuter la pertinence possible de l’Opération Northwoods avec les attaques du 11 Septembre (269-71).

111. L’affirmation (présentée pour expliquer pourquoi les militaires n’obtinrent pas l’information au sujet des avions détournés à temps pour les intercepter) que le personnel de la FAA inexplicablement faillit à suivre les procédures standards quelques 16 fois (155-56, 157, 179, 180, 181, 190, 191, 193, 194, 200, 202-03, 227, 237, 272-75).

112. L’échec de mentionner que l’indépendance proclamée de la Commission fut fatalement compromise par le fait que Philip Zelikow, son directeur exécutif, était virtuellement un membre de l’Administration Bush (7-9, 11-12, 282-84). (ndt : un proche collaborateur de Mme. Condoleeza Rice)

113. L’échec de mentionner que la Maison-Blanche chercha d’abord à empêcher la création de la Commission [Officielle d’Enquête sur les Attaques Terroristes du 11 Septembre], puis plaça de nombreux obstacles sur sa route, comme le fait de lui accorder un budget extrêmement restreint (283-85). (ndt : estimé à environ 15 millions de dollars, quand le film de fiction « Vol 93 » de Paul Greengrass en a coûté 18, et « World Trade Centre » d’Oliver Stone 4 FOIS PLUS soit 60 millions de dollars ; concernant le premier point, il a fallu attendre 441 jours pour que cette Commission soit créée et M. Bush proposa que M. Kissinger en soit le président…avant de se rétracter sous les critiques virulentes de l’opinion publique.)

114. L’échec de mentionner que le Président de la Commission, la plupart des autres Commissionnaires, et qu’au moins la moitié du personnel avait de sérieux conflits d’intérêt (285-90, 292-95).

115. L’échec de la Commission, qui se vantait que la présentation de son rapport final s’était faite « sans dissension », de mentionner que cela n’avait été possible que parce que Max Cleland, le Commissionnaire le plus critique à l’encontre de la Maison-Blanche qui jura « qu’il ne serait pas complice d’un traitement partial des informations » dut démissionner pour accepter un poste à la Banque Export-Import, et que la Maison-Blanche transmit sa nomination seulement après qu’il soit devenu très direct dans ses critiques (290-291).

Je terminerai en précisant que j’ai conclu mon étude de ce que je suis venu à appeler « le rapport de Kean-Zelikow » en écrivant ceci : Au final, le Rapport de la Commission d’enquête sur le 11 septembre, loin de chasser mes soupçons sur une complicité officielle ne servit qu’à les confirmer. Pourquoi les responsables chargés de la rédaction de ce rapport final s’engageraient dans une telle entreprise de supercherie, si ce n’était pour tenter de couvrir de très grands crimes ?

Pour conclure ce dossier épineux, je n’aurai qu’une seule chose à dire Vive la démocratie à l’américaine !

Comment les puissants ont-ils programmés une entrée en guerre des USA dans les grands conflits internationnaux, sachant que rien n’est plus rentable pour un pays et pour son armement qu’un bonne guerre quelque soit l’ennemi.

A voire et à revoir en famille et surtout à faire diffuser :

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