La haine de Jean Ziegler pour l’Occident

Une nouvelle révolution – Jean Ziegler

Jean Ziegler, né le 19 avril 1934 à Thoune dans le canton de Berne en Suisse, est un homme politique, sociologue, écrivain et polémiste suisse.

Nations unies

Il est le rapporteur spécial pour le droit à l’alimentation (des populations) du Conseil des droits de l’homme de l’Organisation des Nations unies de 2000 à mars 2008. Il fut choisi en 2000 et en 2003 mais il ne se présentera pas à sa succession en 2008 car il postule à l’un des (3 sur 18) postes ‘réservés’ au groupe occidental au sein du Conseil des droits de l’homme. Sa candidature est officiellement soutenue par la Suisse [5].

En tant que rapporteur spécial, il a étudié le niveau d’alimentation des populations de nombreux pays (Niger, Éthiopie, Inde, Bangladesh, Mongolie, Brésil, Palestine, Guatemala, …). Les rapports sur la situation de l’alimentation et de la malnutrition dans ces pays sont disponibles sur le site des Nations unies [6],[7].

Jean Ziegler a qualifié de “crime contre l’humanité” le fait d’abandonner les cultures vivrières au profit des biocarburants.[8].

Jean Ziegler a participé aux travaux de reconnaissance de la spoliation de comptes bancaires (en Suisse) de déportés aux profit de l’Allemagne nazie [9]. Son travail est décrit dans son livre : “La Suisse, l’or et les morts” (1997, éditions Seuil). Il explique comment les banquiers suisses ont aidé à financer la machine de guerre des nazis.

Jean Ziegler est l’auteur de plusieurs livres sur la mondialisation et sur ce qu’il appelle les crimes commis au nom de la finance mondiale et le capitalisme, condamnant en particulier le rôle de la Suisse.

Il écrit en français et en allemand.

Bibliographie [modifier]

  • Sociologie de la nouvelle Afrique, Gallimard, 1964.
  • Sociologie et Contestation, essai sur la société mythique, Gallimard, 1969.
  • Le pouvoir africain, Seuil, 1973, nouvelle édition revue et augmentée, 1979.
  • Une Suisse au-dessus de tout soupçon, en collaboration avec Délia Castelnuovo-Frigessi, Heinz Hollenstein, Rudolph H. Strahm, 1976. Nouvelle édition 1983.
  • Contre l’ordre du monde, les Rebelles, Seuil, 1983.
  • Main basse sur l’Afrique, 1978. Nouvelle édition 1980.
  • Retournez les fusils ! Manuel de sociologie d’opposition, Seuil, 1980. Nouvelle édition revue et augmentée 1991.
  • Vive le pouvoir! Ou les délices de la raison d’état, Seuil, 1985.
  • La victoire des vaincus, oppression et résistance culturelle, Seuil, 1988.
  • Les vivants et la mort ; Essai de sociologie, Seuil, 1973. Nouvelle édition revue et augmentée 1978.
  • La Suisse lave plus blanc, 1990.
  • Le bonheur d’être Suisse, Seuil et Fayard, 1994.
  • Charles Baudelaire, avec Claude Pichois, 1996.
  • L’Or du Maniema, Seuil, 1996.
  • La Suisse, l’or et les morts, Seuil, 1997.
  • Les rebelles contre l’ordre du monde, 1997.
  • Les seigneurs du crime : les nouvelles mafias contre la démocratie, Seuil, 1998.
  • Le Livre noir du capitalisme, co-auteur, Édition Temps des Cerises, 1998.
  • La faim dans le monde expliquée à mon fils, 1999.
  • Les nouveaux maîtres du monde et ceux qui leur resistent, Éditions Fayard, Paris, 2002.
  • L’empire de la honte, Éditions Fayard, Paris, 2005.
  • Le droit à l’alimentation, Fayard.
  • La haine de l’occident, Albin Michel, 2008. Prix littéraire des droits de l’homme[12].

Robert Nesta Marley[1] est né le 6 février 1945 à Rhoden Hall près de Nine Mile dans le département de Saint Ann (Jamaïque). Il décèdera d’un cancer généralisé suite à un mélanome qui n’a pas été soigné à temps. Bob Marley est considéré dans le mouvement rastafarai comme un prophète.

Né d’une mère jamaïcaine noire âgée de 18 ans, Cedella Marley Booker, née Malcolm, et d’un père jamaïcain blanc d’origine anglaise, superviseur à cheval des travaux des champs et âgé d’une cinquantaine d’années, Norval Marley, qu’il n’a que très peu connu.

Les parents de Norval Marley n’acceptaient apparemment pas sa liaison avec une femme noire, et Norval, décrit par Cedella comme un homme gentil, mais de faible caractère, aurait été rejeté par sa famille. Bob Marley souffre de l’absence de son père, qui le fait venir à la capitale pour étudier quand il a cinq ou six ans. Sans nouvelles, sa mère le retrouvera des mois plus tard dans une rue de Kingston : son fils avait été confié à une vieille dame, pour qui il faisait les courses. Cedella voit Norval une dernière fois et reprend son enfant.

Bob Marley War

Doumbia Moussa Fakoly est né le 23 juin 1968 à Odienné au nord-ouest de la Côte d’Ivoire. Issu d’une famille de forgerons, Fakoly découvre assez tôt la musique reggae et monte son premier groupe, Djelys, en 1987. Il réussit peu à peu à se faire connaître au niveau régional puis national avec ses concerts.

Très concerné par l’évolution sociale et politique de son pays, Tiken Jah écrit des textes incisifs sur la situation électorale qui fait suite à la disparition d’Houphouët-Boigny en 1993, ce qui lui valut une grande popularité au sein de la jeunesse.

En 1998, il monte pour la première fois sur scène en Europe, à Paris.

Depuis 2003, Tiken Jah Fakoly vit exilé au Mali suite à des menaces de mort[1].

Il obtient la Victoire de la musique en 2003 dans la catégorie album Reggae/Ragga/World pour l’album Françafrique.

En 2002 et 2005 il chante lors de la Fête de l’Humanité.

Lors d’un festival de rap à Dakar, Sénégal en décembre 2007, Fakoly démande entre autres au président Wade de « quitter le pouvoir s’il aime le Sénégal », il parle aussi du danger que coure le pays. Fakoly est déclaré « persona non grata » au Sénégal suite à ces déclarations jugées « fracassantes, insolentes et discourtoises » par le gouvernement sénégalais. Un arrêté d’entrée et de sortie du territoire sénégalais a été pris par le ministre de l’Intérieur. Fakoly quitte le pays le lendemain[2].

Tiken Jah Fakoly Le pays va mal

Tiken Jah Fakoly l Afrique en a marre

Premier fils d’une famille de neuf enfants, Seydou Koné naît à Dimbokro en 1953. Élevé par sa grand-mère, le garçon connaît des années heureuses : portant le même prénom que le grand-père décédé, il est le « petit mari » de l’aïeule qui le cajole. Élevé parmi des femmes âgées, il en apprend notamment de nombreuses expressions dioula recherchées. Une règle importe qui marquera l’enfant pour toute sa vie : il faut « parler droit », ne pas mentir, quelles que puissent en être les conséquences.

En 1962, il retrouve sa mère à Korhogo ; celle-ci l’emmène à Odienné où son mari travaille pour la Compagnie française de Côte d’Ivoire, la CFCI. Seydou Koné passe dix ans à Odienné, où en 1972, il préside la section locale du Mouvement des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire (MEECI). On l’appelle Elvis Blondy. La même année, il part suivre sa seconde au lycée normal de Korhogo. Élève inscrit à l’internat, l’adolescent forme un groupe avec ses copains Price (guitare), Pop Touré (batterie) et Diallo Salia (basse) : les Atomic Vibrations jouent en matinée les week-ends, pour les beaux yeux des jeunes filles du Couvent Sainte-Elisabeth voisin…
Désireux d’apprendre l’anglais, il convainc sa mère de le laisser partir, en auto-stop, pour le Libéria voisin.

En 1973, Seydou Koné est à Monrovia. Il y reste treize mois, prenant des cours pour maîtriser la langue des Beatles et donnant des leçons de français. Mais le jeune homme veut aller plus loin. Il rentre en Côte d’Ivoire avec l’idée de partir aux États-Unis perfectionner son anglais, aller à l’université, faire de la musique et créer un groupe. À l’époque, il a en effet déjà écrit maintes chansons. « Come back Jesus », par exemple, a été écrite au Libéria (le titre sera publié en 1985 sur l’album « Apartheid is nazism »).

C’est en 1976 que le rêve devient réalité : Blondy (c’est ainsi qu’il signe les lettres envoyées aux amis restés au pays, surnom qui existe depuis le collège à Odienné) débarque à New York.

Il s’inscrit dans une première école, la Geneva School of business, où il suit pendant trois mois des leçons d’anglais commercial. Puis il use les bancs du Hunter College pour prendre des cours de langue accélérés et passer avec succès le test qui lui permet enfin de s’inscrire à l’American Language Program de Columbia University.

Pendant deux ans, le jeune ivoirien suit ce programme destiné aux étudiants étrangers. En même temps, souvent de nuit, forcément, il enchaîne les jobs alimentaires – il est notamment coursier, à 5 dollars le pli porté. À ce rythme, il tombe bientôt malade. Alors qu’un médecin lui conseille de se reposer, un ami ivoirien, Oullaï Joachim, lui suggère de venir le rejoindre à Waco, au Texas. Seydou arrête les cours et quitte New York, son climat qui peut être si froid et son rythme infernal.

À Waco, le compatriote l’aide à trouver du travail : c’est l’usine de dindons Plantation Food, puis celle de poulets. Mais les abattoirs, cela ne correspond pas si bien que ça au jeune homme qui, à New York, comme la plupart des africains, évoluait dans les milieux carribéens et notamment jamaïcains : toute la période new-yorkaise a en effet été celle d’une approche de la philosophie rasta, illustrée par le concert donné par Burning Spear en 1976 à Central Park, dont Alpha parle encore aujourd’hui comme d’une date majeure, et en quelque sorte, emblématique.

Après les volailles, donc, le jeune Blondy trouve un job chez le plus grand distributeur de musiques chrétiennes du monde. Pour sa part, il continue d’écrire ses titres.

Une rencontre lui donne beaucoup d’espoir : celle du Jamaïcain Clive Hunt, qui lui présente The Sylvesters, un groupe formé par une famille de dominicains qui joue régulièrement dans les petites salles de l’État de New-York. Espérant enfin réussir, Blondy quitte le Texas et commence à se produire en première partie des Sylvesters. Il chante ses propres compositions, dont «Burn down the apartheid», « Bory Samory » ( publié en 1984 sur « Cocody Rock ») ou « War », de Bob Marley, en français (publié en 1994 sur «Dieu»)…

Mais le plus grand espoir du jeune homme repose sur les 8 chansons enregistrées, sous la houlette de Clive Hunt, au studio Eagle Sound à Brooklyn. À l’époque, Clive Hunt a déjà réalisé le 1er album des Abyssinians, travaillé avec Max Romeo et enregistré un album sous le pseudonyme de Lizzard (dont une chanson, Milk and Honey, a été reprise par Dennis Brown). Le disque ne voit malheureusement jamais le jour : le réalisateur ayant des problèmes d’argent, il a, dit-on à Blondy, quitté New York pour Londres.

Déjà quatre ans passés aux États-Unis, sans résultat vraiment palpable : en 1980, Blondy décide de rentrer en Côte d’Ivoire. Peu glorieux, le retour est douloureux. Le rêve américain a tourné au cauchemar.

De retour à Abidjan, Blondy habite chez des amis. Il se met à répéter avec des musiciens ghanéens au ghetto d’Adjamé, au Bracodi Bar. Désormais, il se fait appeler Alpha, qu’il a ajouté à Blondy en signe d’espoir d’une nouvelle vie, d’un commencement.

En 1981, Roger Fulgence Kassy lui propose de passer dans l’émission qu’il présente à la télévision ivoirienne (la RTI), «Première chance». Les deux hommes se connaissent de longue date. Adolescents, ils se retrouvaient en effet à Abidjan pendant les grandes vacances, au quartier Ebrié, chacun chez son oncle (les deux oncles travaillaient à la Présidence) ; ils ont passé le BEPC la même année.

Avant le départ au Libéria, en 1973, c’est d’ailleurs ensemble qu’ils se présentent au concours d’entrée à la RTI. Fulgence réussit, et entre au studio-école de la télévision ivoirienne. Quand Blondy revient des États-Unis, Fulgence fait partie de l’équipe du studio 302, dirigée par George Benson (producteur et animateur ivoirien. A ne pas confondre avec le guitariste américain). En 1981 donc, Ful, comme l’appelle Alpha, lui propose « Première chance ». Pour le chanteur qui a bientôt trente ans, c’est plutôt la dernière chance…

Il interprète quatre chansons : « Christopher Colombus » de Burning Spear, et trois de ses compositions, « Bintou were were », « Dounougnan » et « The end ». « Tu verras, demain, ta vie va changer », avait prévenu Fulgence. Effectivement: Devant l’engouement suscité par le passage à la télévision, Georges Benson propose au chanteur de produire son premier album. Ce sera « Jah Glory », qui sort fin 1982, début 1983. C’est, au grand regret de Seydou Koné, malheureusement trop tard pour faire partager sa joie à sa grand-mère chérie.

Sur l’album, un titre que Benson hésite à mettre : « Brigadier sabari ». La chanson (dont l’intitulé peut se traduire par la supplication « Brigadier, pitié! ») dénonce les violences dont la police est coutumière. Le titre fait un tabac en Côte d’Ivoire et dans toute la région. Il accompagne jusqu’à aujourd’hui la riche carrière d’Alpha Blondy, qui compte plus de quinze albums et un nombre incalculable de concerts.

Avec son groupe le Solar System, l’artiste se produit en effet aux quatre coins de la planète, portant haut les couleurs de l’Afrique et de son pays, la Côte d’Ivoire.

Alpha Blondy War

Alpha Blondy Jerusalem

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