Tue 23 Sep, 2008
L’ Atlantide enfin découvert ?
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Tue 23 Sep, 2008
Tue 26 Aug, 2008
Les rivages de l’Antarctique sans aucune glace
Une civilisation inconnue ( les Atlantes? ) et disparu aurait-elle transmise, sans doute aux Egyptiens, des bribes de ses connaissances? Ce que nous savons de l’antiquité nous montre que la connaissance n’était pas partagée, mais réservée à une élite dirigeante dont le pouvoir était justement assis sur cette supériorité.
LA CARTE DE PIRI REIS
En 1929, lors de la réfection du musée du palais Topkapi Sarayi d’Istanbul, le directeur des musées nationaux turcs, M. Halil Edem mit la main sur la fameuse carte en peau de gazelle de Piri Reis, peinte en 1513. Cette carte représente l’Océan Atlantique avec une partie des côtes américaines, africaines et de l’Antarctique. La carte de Piri Reis a fait l’objet de nombreuses études. Il ressort de ces études que cette carte est impossible, hors de son temps, compte tenu des connaissances de l’époque pour de nombreuses raisons.
L’île de Marajo à l’embouchure de l’Amazone n’a été découverte qu’en 1543.
Les îles Malouines ne seront découvertes qu’en 1592.
Les Andes sont représentées, elles ne sont pas encore connues.
Le Lama, mammifère typique de l’Amérique du sud, est peint sur les Andes, il a été identifié en 1598 par les Espagnols.
Les grandes îles au-dessus de l’équateur, inconnues, correspondent aux haut-plateaux sous-marins des îlots St Pierre et St Paul, sur la Grande Dorsale Atlantique ( ont personne ne soupçonnait l’existence).
On y voit les côtes de l’Antarctique qui ne sera découvert qu’en 1818 soit 300 ans plus tard.
L’Amérique du sud est reliée à l’Antarctique par un isthme qui a disparu il y a 10 000 ans.
Piri Reis a écrit sur sa carte, en notes et dans son Bahriye que ” Personne n’a au temps actuel une carte comme celle-là “. Ces cartes ont été dressées selon les données de chartes, des portulans de quatre Portugais qui montrent le Sind, le Hind et la Chine et d’une carte dessinée par Christophe Colomb. Elles sont aussi justes pour la navigation sur les sept mers que les cartes de nos pays.” Piri Reis déclare aussi avoir compilé sa carte à partir de vingt autres provenant de la Grande Bibliothèque d’Alexandrie et datant au moins du IVe siècle av. J.C.
L’élément le plus troublant, celui qui soulève le plus de questions : Les rivages de l’Antarctique que l’on peut voir sont ceux de la Terre de la Reine Maud sans aucune glace ! Nous avons eu la confirmation de ce tracé qu’en 1949 après les relevés sismiques d’une expédition anglo-suédoise. Or, même s’il existe encore quelques scientifiques qui continuent à prétendre que la calotte entière est vieille de plusieurs millions d’années, d’autres admettent la possibilité que cette partie de l’Antarctique ait pu être dégagée de ses glaces pendant environ 9 000 ans, il y a au moins 6 000 ans.
(1) Le Japon de la mappemonde de Martin Behaim (1492) comparé avec la zone des Caraïbes de la carte de Piri Reis.
Cette carte peut paraître inexacte, si l’on est habitué aux cartes Mercator, mais pas si l’on est familier des projections stéréographiques polaires ( plus précisément c’est une projection cordiforme ). Cette carte faisait sans doute partie d’un ensemble qui constituait une mappemonde plus complexe. Pour d’autres, la carte est mal faite et c’est par exemple le Japon que l’on peut distinguer en haut à droite (1)
LA CARTE D’ORONTEUS FINAEUS
Carte d’Oronteus Finæus date de 1531. Elle décrit l’Antarctique avec une très grande précision et dégagé d’une grande partie de sa calotte glacière, soit tel qu’il était il y a au moins 6 000 ans. Outre les côtes dépourvues de glace, les fleuves, les chaînes montagneuses intérieures découvertes assez récemment, elle indique également le pôle sud ! Dpuis, l’étude des carottes de glace permet aux scientifiques de remonter le temps jusqu’à 150 000 ans en arrière.
Des chercheurs ont ainsi découvert que des rivières telles que celles figurant sur la carte d’Oronteus Finaeus ayant existées en Antarctique, quelque 4000 ans avant J.-C. Cependant, il se pourrait que cette ” Terre Australis ” soit une représentation de l’australie.
Ci-contre: Carte D’Oronteus Finaeus
LA CARTE DE ZENO
La carte de Zeno ( 1380 recopiée en 1558 ) montre le Groenland sans glaces, avec ses montagnes et des îles inconnues.
Nicolo Zeno dessina une carte de l’Atlantique nord qui s’avéra très influente. Elle aurait été basée sur les voyages océaniques effectués par des membres de la famille du cartographe dans les années 1380, quoiqu’il n’existe aucune preuve que ces voyages aient effectivement eu lieu.
La plupart des caractéristiques géographiques qui figurent sur cette carte sont positionnées à une latitude trop septentrionale, ce qui, plus tard, confondit les cartographes et amena Frobisher à croire qu’il avait visité l’île dite de Friesland alors qu’en fait, il s’était rendu au GrÅ“nland.
LA CARTE DE MERCATOR
Mercator lui-même, dans son Atlas de 1569, montre l’Antarctique avec des éléments encore plus précis que ceux d’Oronte Fine.
Sa description de l’Antarctique est plus précise que celle de l’Amérique du sud et de l’Afrique du sud, pourtant élaborée à partir des rapports de ses contemporains, et jugée plus fiable.
Les travaux de Mercator devaient populariser la théorie de l’existence d’un passage par le nord-ouest. En 1538, année de la parution de sa première mappemonde, le cartographe était de plus en plus connu et respecté. La mappemonde qu’il réalisa en 1569 comptait parmi les plus magistrales dessinées jusqu’à cette époque. La mappemonde d’Abraham Ortelius, qui parut l’année suivante, fait partie d’une compilation originale qui constitue essentiellement le premier atlas moderne. Elle fait également date dans l’histoire de la cartographie.
AUTRES CARTES DECOUVERTES
Carte de Ptolémée
Datant du IIe siècle et retrouvées au XVe siècle, montrent le Groenland non entièrement recouvert de glace et des glaciers en Suède tels qu’ils étaient il y a 10 000 ans.
Carte chinoise
Une carte gravée sur un pilier en 1137, tracée selon une grille faisant appel à la trigonométrie sphérique ( technique utilisée dans les autres cartes occidentales citées ).
Divers portulans, notamment celui de Dulcert ( 1339 ), d’une précision de notre temps, sur la Méditerranée et l’Europe de l’Irlande à la Russie. Les latitudes y sont parfaitement exactes et l’erreur maximale des longitudes est inférieure au demi-degré.
Carte d’Ibn Ben Zara ( 1487 ) montre l’Europe du nord et son glacier tel qu’il était il y a 12 000 ans et la Méditerranée dont le niveau correspond à celui qui existait à la dernière période glacière. Là encore la précision des longitudes est étonnante.
Carte De Carneiro
Cette carte du portugais De Carneiro date de 1502. Elle représente toutes les côtes d’Afrique avec une grille utilisant également la trigonométrie sphérique..
Carte d’Andrea Benincasa
Datant de 1508 c’est une carte de la mer Baltique avec ses glaciers disparus depuis 10 000 ans.
Carte de Jorge Reinel
Datant de 1510, elle qui montre l’Océan Indien avec une étonnante précision des longitudes.
Carte d’Hadji Ahmed
Carte turquie de1559, elle représente l’Amérique avec une précision qui ne sera égalée que deux siècles plus tard ; elle montre également une terre entre la Sibérie et l’Alaska, là où se trouve le Détroit de Behring, cet isthme a disparu il y a environ 10 000 ans.
Les cartes originales entreposées à la Grande Bibliothèque d’Alexandrie ont été copiées, compilées et sans doute transférées dans les cités les plus rayonnantes comme Constantinople qui fut reprise par les Vénitiens ( grands navigateurs ) en 1204, puis diffusées d’une manière très confidentielle. Ces portulans avaient non seulement une très grande valeur marchande mais ils étaient également du plus haut intérêt sur le plan militaire et commercial.
Tous ces éléments semblent donc bien démontrer qu’il a existé, il y a au moins 6 000 ans, une civilisation inconnue possédant :
- Une connaissance des mathématiques extrêmement sophistiquée : Trigonométrie sphérique, Translation trigonométrique, Projection cordiforme et Conversion de coordonnées polaires et rectangulaires.
- Une parfaite connaissance de la rotondité de la Terre.
- Des instruments de mesure très précis permettant de mesurer notamment la longitude avec une finesse atteinte seulement à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle.
- Des moyens de navigation qui nous sont inconnus, des navires robustes, ou bien… certains experts affirment que la précision des tracés n’a pu être obtenue qu’à l’aide de relevés aériens…
- 6000 avant J.C. est l’époque où l’homme serait sorti de ses grottes et aurait commencé à se “civiliser” au Moyen-Orient. Or il semble bien que l’ensemble de la planète ait été cartographié. De plus, il faut souligner le fait que ce ne sont pas seulement des cartes côtières, car on y trouve également les chaînes montagneuses à l’intérieur des continents avec leurs altitudes. En plus d’être de fameux marins, ils devaient également être de sacrés explorateurs.
Cette civilisation inconnue (les Atlantes?) a disparu. Elle a transmis, sans doute aux Egyptiens, des bribes de ses connaissances mais pas son savoir-faire. Ce que nous savons de l’antiquité nous montre que la connaissance n’était pas partagée, mais réservée à une élite dirigeante dont le pouvoir était justement assis sur cette supériorité. Comme de nos jours?
Tue 26 Aug, 2008
Des objets impossibles de plusieurs millions d’années découverts
LES SPHERES DU TRANSVAAL OCCIDENTAL
En Afrique du Sud, au Transvaal Occidental, près d’Ottosdal, les mineurs ont remonté depuis 30 ans, près de 200 objets métalliques sphéroïdaux. Les professeurs de géologie, J.R. Mac Iver ( de l’université de Witwaterstand à Johannesburg ) et A. Bisshoff ( de l’université de Potsshefstroom ) ont étudié ces globes aplatis d’un diamètre moyen de 2,5 à 10 centimètres.
Ces sphéroïdes sont de couleur bleu acier avec des reflets rouges et tachetés de petits filaments blancs. Ils sont en acier au nickel, que l’on ne trouve pas à l’état naturel, ce ne sont donc pas des météorites ! Certains, accidentellement cassés, sont remplis d’un matériau spongieux qui se transforme en poussière au contact de l’air. Ces globes sont extraits d’une couche rocheuse datée géologiquement de 2,8 à 3 milliards d’années ( confirmé à l’aide de techniques de datation isotopiques ) ! Ils sont exposés au musée sud-africain de Klerksdorp, où le conservateur R. Marx a remarqué que mystérieusement, alors qu’ils sont enfermés dans leur vitrine, ils tournent lentement sur leur axe!
GEODE DE CALIFORNIE
En 1961, trois copropriétaires d’un magasin de minéraux, à Olancha en Californie, en prospection dans les monts Coso, ramenèrent une géode surprenante. La gangue extérieure de cette géode est composée d’argile durcie, de cailloux, de fragments de coquillages fossiles et de deux objets, ressemblant à un clou et à une rondelle. A l’intérieur, un cylindre en céramique est pris dans un manchon hexagonal en bois pétrifié, avec des fragments de cuivre entre les deux. Au milieu du cylindre est insérée une tige métallique de 2 millimètres de diamètre. Cet objet , qui serait âgé entre 250000 et 500000 ans, est resté trois mois exposé à Independance, au musée de l’Eastern California. En 1969 il fut vendu pour 25 000 dollars. D’autres photos aux rayons X ont été prises de cet objets.
CLOU DE FER AU PEROU
Au XVIe siècle, en 1572, un clou en fer fut trouvé dans la roche d’une mine du Pérou, il mesurait 18 centimètres. Il fut offert au Vice-roi espagnol du Pérou comme souvenir. La couche géologique dont il a été extrait est estimée entre 75.000 et 100.000 ans.
MORTIER ET PILON EN CALIFORNIE
Le 2 aoüt 1890, un mortier et son pilon façonnés dans la pierre ainsi que des pointes de lances et une hache en silex ont été trouvés en Californie par J.h. Neale. Il était Conducteur de travaux et surveillant de la compagnie du tunnel de Montezuma.
Il fit cette découvert dans le gravier sous la lave de la montagne lors du percement du tunnel. Ces objets manufacturés se trouvaient dans des couches géologiques datées de 33 à 55 millions d’années.
PLUSIEURS TROUVAILLES PRES D’AIX EN PROVENCE
Entre 1786 et 1788, près d’Aix-en-Provence, plusieurs trouvailles ont été faites dans une carrière de calcaire, dans laquelle les couches de roche alternent avec des strates de sable et d’argile. A une quinzaine de mètres sous le niveau du sol, dans une couche de sable, des ouvriers trouvèrent tout d’abord des bouts de colonnes et des blocs déjà taillés ; plus bas, des pièces métalliques faisant penser à des pièces de monnaie, des manches d’outils en bois pétrifiés, une grande planche de bois également pétrifiée. Et tout cela daterait de 300 millions d’années, si l’on admet que les théories classiques de la géologie, quant à la formation des roches d’une part et du délai de pétrification d’autre part, sont exactes.
FIL D’OR EN ECOSSE
En 1844, en Ecosse, entre les rivières Tweed et Rutherford, des ouvriers trouvèrent un fil d’or incrusté dans la roche à 2,5 mètres de profondeur. Il fut exposé au siège du journal local, le Kelso Chronicle.
MARTEAU ET CLOU DE FER EN ECOSSE
Découverte à MyInfield en Ecosse d’un clou en fer et un marteau inséré dans la roche au milieu du XIXe siècle, en 1845. Dans un bloc de pierre de la carrière de Kingoodie. La tête du clou mesurait 2,5 centimètres. Elle était en contact avec une couche de gravier et légèrement corrodée, alors que le reste du clou était prisonnier de la roche.
Le marteau est inséré dans un bloque d’Arenaria. L’Arenaria, datée par le docteur à W. Med du Centre de Recherche Géologiques Britannique, remonte à une période comprise entre les 360 et les 460 millions d’années.
CLOU DE FER EN CALIFORNIE
En 1845, à Springfield, monsieur De Witt brisa accidentellement un morceau de quartz aurifère qu’il avait ramené de Californie. A l’intérieur, se trouvait un clou en fer forgé de 5 centimètres, légèrement corrodé, absolument droit avec une tête parfaitement formée. La pierre est âgée d’un million d’années.
OBJET EN CUIVRE EN ILLINOIS
En 1851, dans le Comté de Whiteside (Illinois), deux objets en cuivre ont été remontés d’une profondeur de 36 mètres lors d’un forage. Ils ressemblaient à un hameçon et à une bague, âgés d’environ 150.000 ans.
VIS EFFILEE AU NEVADA
En 1865, un morceau de feldspath, retiré d’une mine de Treasure City ( Nevada ), contenait les restes oxydés d’une vis effilée. La pierre est âgée de 21 millions d’années.
LE VASE EN ALLIAGE ZINC-ARGENT
En 1851, à Dorchester (Massachusetts), au cours d’une opération de minage, 5 mètres en dessous du niveau du sol, les deux parties d’un vase métallique en forme de cloche ont été arrachées de la roche dynamitée.
Ce vase fait 11,3 centimètres de hauteur, il est en alliage de zinc, à très forte teneur d’argent semble-t-il, et finement décoré. Son âge est estimé à 100.000 ans. Le vase a voyagé de musée en musée, puis il disparaîtra de la circulation.
PIECE EN ALLIAGE DE CUIVRE EN ILLINOIS
En août 1870, à Lawn Ridge près de Peoria (Illinois), avec deux autres compagnons, J.W. Moffit trouva une pièce dans les gravats du puits artésien qu’ils étaient en train de forer. Le Professeur A. Winchell étudia l’objet composé d’un alliage de cuivre non identifié à l’époque. Malgré la morsure du temps, la pièce ronde présentait des arêtes bien découpées et une épaisseur remarquablement uniforme. Le dessin, représentant un visage féminin surmonté d’une couronne, semblait avoir été gravé à l’acide. Sur l’autre face, un animal aux longues oreilles pointues avec une longue queue effilochée, était accompagné d’un autre ressemblant à un cheval. Sur le pourtour des deux faces, les caractères d’une écriture inconnue se laissaient deviner. Trouvée à plus de 30 mètres de profondeur, elle pourrait être âgée de 100.000 à 150.000 ans.
OBJET CUBIQUE EN ALLEMAGNE
Un objet de forme cubique a été trouvé dans un bloc de charbon du tertiaire ( datant de 60 millions d’années ) dans une mine allemande en automne 1885. Le parallélépipède a été étudié par le Dr A. Gurlt. D’après les publications faites en 1886 sur cet objet, il est interprété tout d’abord comme une météorite fossile, et semble avoir été ” retravaillé voir usiné ” ! L’objet fait 7 centimètres sur 7 sur 4,5 , et a une densité de 7,75. Quatre de ses faces sont parfaitement planes, les deux autres, opposées, sont légèrement convexes. Une rainure profonde en fait le tour à mi-hauteur. Endommagé par les différents prélèvements effectués, on en fera un moulage en plâtre au début du siècle. En 1910, il disparaît de l’inventaire du musée de Salzbourg où il était conservé. On le retrouve exposé de 1950 à 1958, au musée national d’Oberosterreichisehes de Linz ( Autriche ), où est également conservé le moulage. Il est maintenant la propriété de M. O.R. Bernhardt du musée Heimathaus de Vöcklabrück, en Autriche. Des études complémentaires effectuées par divers instituts scientifiques de Vienne, en 1966-67, 1973 et 1986, concluent définitivement que l’objet en fonte, n’est pas une météorite et a été coulé dans un moule.
CHAINE EN OR EN ILLINOIS
En 1891, à Morrisonville en Illinois, en cassant un gros bloc de charbon, madame S.W. Culp trouva une petite chaîne en or, d’environ 25 centimètres de longueur, dont les extrémités étaient encore prisonnières dans deux morceaux séparés.
POT DE FER DE L’OKLAHOMA
En 1912, à Thomas ( Oklahoma ), deux ouvriers employés de l’usine électrique municipale de Thomas, alimentant le four d’une centrale avec du charbon, en briserent un énorme morceau qui contenait un pot en fer.
Ce pot de fer a été examiné par plusieurs experts. Selon Robert O. Fay de l’Oklahoma Geological Survey, le charbon de la mine de Wilburton a environ 312 millions d’années.
CUILLERE EN CERAMIQUE DE PENSYLVANIE
En 1937, en Pensylvanie, en nettoyant les cendres du poêle où elle avait fait brûler du charbon, une femme trouva une grosse cuillère en céramique.
NANOTECHNOLOGIE
Une autre technologie?
CES PIECES SERAIENT DES RESTES DE DECHETS INDUSTRIELS DATANT DE L’ERE SOVIETIQUE
Ce cas a été étudié et expliqueé comme tel: ces pièces sont des déchets de fabrication d’une usine soviétique oubliée, qui ont été enterrés là , et les découvreurs russes de l’emplacement se sont trompé dans la datation de la couche “géologique”, qui était une couche artificielle. Les spirales de tungstène par exemple sont des filaments de tungstène pour des ampoules ordinaires. Cette explication a convaincu pratiquement tout le monde…
A partir de 1991, des prospecteurs d’or, puis des expéditions scientifiques ( mandatées par l’institut central de recherche scientifique de géologie et de prospection de métaux précieux et non-ferreux de Moscou ), ont découvert des objets, métalliques, spiralés pour la plupart, dont la taille varie de 3 centimètres pour les plus gros à 3/1 000e de millimètre !
Des milliers de ces artefacts ont été trouvés sur de nombreux sites dans la partie orientale des montagnes de l’Oural, sur les rives de plusieurs cours d’eau dans des couches sédimenteuses datant du pléistocène supérieur, à des profondeurs variant de 3 à 12 mètres.
Ces objets ont été étudiés par l’Académie des Sciences russe de Syktyvka, Moscou et St Petersbourg, ainsi que par un institut scientifique d’Helsinki en Finlande : Les plus gros de ces objets sont en cuivre, tandis que les plus petits sont en tungstène ( point de fusion de 3410°c. ) ou en molybdène ( point de fusion de 2650°c. ).
En fonction du site et de la profondeur où ils ont été trouvés, l’âge de ces objets est estimé entre 20 000 et 318 000 ans !
L’Institut de Moscou a publié un rapport d’expertise n° 18/485 du 29/11/96 qui conclut : “Les données obtenues permettent d’envisager la possibilité d’une technologie d’origine extra-terrestre.”
FOSSILES ET EMPREINTES IMPOSSIBLES
C’est à partir des exceptions que naissent de nouvelles théories
Le crâne de Mahanoy
Ed conrad decouvrit dans la région de Mahanoy aux USA des choses bien surprenante. La première trouvaille fut un rocher contenant une inclusion dont les contours ressemblaient à un crâne vu de dessous. Sa deuxième trouvaille fut une pierre ressemblant étrangement au crâne d’un grand anthropoïde. Sa troisième trouvaille fut une autre inclusion dans un rocher, cette fois d’un crâne vu de profil, avec les mêmes protubérances qu’un crâne d’hominidé.
D’autres fossiles pétrifiés d’os de fémur et de tibia furent également mis à jour.
Ed conrad décida de soumettre ses découvertes au “Smithsonian Institute” qui refusa de faire une étude poussée.
Des os d’hominidés pétrifiés de 280 millions d’années, n’est pas possible et pour les scientifiques c’est le fruit d’un hasard de la nature.
C’et l’attitude classique des scientifiques devant une découverte impossible, qui a poussé Ed Conrad à se ranger du côté des créationnistes.
C’est avec des fonds privés que ces objets furent étudiés, analysés au microscope électronique, aux rayons X, infra-rouge, etc.
Ainsi, le crâne a un palais et une prémolaire à double racine ; c’est à dire que, selon la science officielle, un rocher à forte teneur en phosphate ressemblant à un crâne d’hominidé mais avec une cavité à l’emplacement du palais et une prémolaire, ainsi que la structure cellulaire des canaux Haversiens ( visibles seulement au microscope ). Cela ne peut pas être un hasard de la nature!
Crâne dans une mine en allemagne
En 1842, un crâne humain, mal préservé, est trouvé dans du lignite vieux de 15 à 50 millions d’années. Cet objet fait partie de la collection de l’Académie Minière de Freiberg en Allemagne.
Mammifères en Californie
A partir de 1850, divers fossiles de mammifères ( du mammouth au bison ) ont été remontés d’une mine d’or de Table Mountain près de Needles en Californie.
Disque de pierre
En 1863, un disque en pierre (à meuler?) ainsi qu’un morceau de crâne humain sont découverts par le Dr R. Snell.
Crâne dans une mine américaine
En 1866, M. Mattison, propriétaire d’une mine, dégagea sous une couche de basalte, un crâne humain complet qui fut étudié par le Dr L. Wyman du Collège de Harvard. Ce crâne âgé de 12 millions d’années est d’un type moderne, son authenticité ne fait aucun doute à cause de l’imbrication naturelle des gravats.
Os humains et pointes de flèches au Colorado
Relaté dans le Saturday Herald of Iowa City, le 10 avril 1867, des os humains et des pointes de flèches en cuivre ont été trouvés dans un filon d’argent à une profondeur de 400 mètres au fond de la mine de Rocky Point à Gilman ( Colorado ). La veine où ces objets reposaient est âgée de 135 millions d’années.
Fossiles en Italie
En Italie, dans les années 1870, dans une mine de charbon, on a retrouvé le fossile d’un hominidé âgé de 12 millions d’années, baptisé Oreopithécus. Il est visible au musée de Florence en italie. D’autres Oreopithécus fossiles ont été mis à jour en Europe, en Afrique occidentale, en Chine et en Inde.
Os humain au Névada
En juillet 1877, à Spring Valley près d’Eureka ( Nevada ), quatre prospecteurs trouvèrent ce qui ressemblait à un os humain carbonisé pris dans une roche de quartzite brune. Une fois la roche enlevée, ils découvrirent une partie du fémur, les os du genou, de la jambe et du pied, d’un hominidé qui devait mesurer 3,5 mètres. La roche où ces restes étaient enserrés est estimée à 185 millions d’années.
Os humains au Missouri
Un article du Scientific American, en 1880, rapporte la découverte d’un crâne humain, de morceaux de côtes, de vertèbres et d’une clavicule, dans une mine de fer près de Dry Branch, dans le comté de Franklin ( Missouri ), à une profondeur de 50 mètres, avec deux pointes de flèches en silex ainsi que du charbon de bois. En les manipulant, les os se brisèrent. Deux semaines et demi plus tard, 1,5 mètre plus bas, le Dr Booth trouva d’autres restes ( un fémur, des vertèbres et d’autres morceaux de bois carbonisés ), sur une couche de minerai de fer qui portait des marques de tissage. L’âge estimé de ce minerai est de 425 millions d’années.
Dent humaine au Montana
En novembre 1926, dans le puits n° 3 de la mine de charbon de Bear Creek, à 80 kilomètres au sud-ouest de Billings ( Montana ), l’archéologue J.C.F. Siegfriedt trouva une dent humaine ( seconde molaire inférieure ) dont l’émail s’était transformé en carbone et les racines en fer. Cette dent fut trouvée dans une couche datant de 30 millions d’années. Cette découverte ne suscita l’intérêt d’aucun autre spécialiste et, comme les autres, tomba dans l’oubli.
Mâchoire d’un enfant à Bâle
En 1958, le Dr J. Huerzeler du Muséum d’Histoire Naturelle de Bâle, trouva à 180 mètres de profondeur, dans une mine de charbon en Toscane ( Italie ), la mâchoire écrasée d’un enfant de 5 ou 7 ans de type moderne. De plus, les strates dont elle a été extraite datant de 20 millions d’années, cette découverte impossible fut classée sans suite.
Os et dents dans l’Utah
En 1973, un collectionneur de roches, Lin Ottinger, en arpentant un plateau rocheux dégagé par les bulldozers pour préparer une exploitation minière, aux alentours de la mine de cuivre de Big Indian, au sud-ouest de Moab ( Utah ), trouva des morceaux d’os et des dents. Soucieux de sa découverte, il fit appel au Dr J.P. Marwitt, professeur d’anthropologie à l’Université de l’Utah à Salt Lake City, pour fouiller plus avant. Devant plusieurs observateurs, des photographes, des reporters munis de caméras, ils mirent à jour les moitiés inférieures de deux squelettes humains d’apparence moderne, disposés naturellement dans une couche âgée de plus de 100 millions d’années. Les fossiles furent ramenés à l’université pour une datation, non révélée jusqu’à présent, et le professeur Marwitt fut muté.
www.secretebase.free.fr
Mon 18 Aug, 2008
Une structure étonnement développée, découverte au fond des eaux internationales.
Mon 18 Aug, 2008
Rapporté dans deux dialogues de Platon, à une date où celui-ci est déjà âgé, vers 357 av. J.-C., l’histoire de l’Atlantide a soulevé de nombreuses questions, de nombreux débats et a été l’objet de milliers d’ouvrages, si bien qu’on a pu la présenter comme le plus grand de tous les mystères[1]. Pour qui accorde de la véracité au récit de Platon, il résonne depuis près de 2 370 ans comme un avertissement sur l’incroyable pérennité des connaissances humaines d’une histoire qui se serait transmise sur plus de 11 600 ans. Ainsi le géologue Jacques Collina-Girard a étudié les possibilités d’une transmission orale de lointains événements historiques et géologiques.
Mais si Platon précise dans ses dialogues « le fait qu’il ne s’agit pas d’une fiction, mais d’une histoire véritable est un intérêt capital[2] » une vaste majorité d’historiens[3] s’accordent aujourd’hui à voir le mythe de l’Atlantide comme une fable de Platon. C’est l’opinion qui s’est en effet imposée avec les travaux de Pierre Vidal-Naquet[4] et de Christopher Gill[5] dans le monde anglo-saxon. « La narration platonicienne introduit effectivement quelque chose de nouveau : dire le fictif en le présentant comme le réel. Avec une perversité qui lui a valu un immense succès, Platon a fondé le roman historique, c’est-à -dire le roman situé dans l’espace et dans le temps[6] ». Aristote et Ératosthène avaient dès l’Antiquité marqué leur scepticisme face au mythe de Platon[7]. Pour Hervé Duchêne, professeur d’histoire ancienne à l’université de Bourgogne, le procédé rhétorique de Platon, présentant le fictif comme le réel a égaré « ceux qui cherchent naïvement dans le Critias et le Timée une réalité historique ou topographique précise[8] ».
Sat 16 Aug, 2008
Sat 16 Aug, 2008
Sat 16 Aug, 2008